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| JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ | |
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Auteur | Message |
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Invité
| Sujet: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 16:52 | |
| crédits ϟ CYRINE
CONNELLY JULIAN LIAM
Bonjour, je me nomme Julian Connelly j'ai 21 ans , je suis né le 25 décembre 1989 et je viens de Dublin .
QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT ?
1 ϟ un petit footing... j'ai besoin d'air !
QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ?
4 ϟ la nourri-quoi ?!
QUE PENSEZ-VOUS DES MANNEQUINS ?
3 ϟ ouais... euh... pourquoi ?
QUE FAIS-TU DE TON TEMPS LIBRE ?
2 ϟ ma vie privée ne vous regarde pas !
TU ES DANS LE TRAIN POUR AU MOINS TROIS BONNES HEURES, QU'ÉCOUTES-TU ?
4 ϟ yodelice
| NOM ϟ Connelly.
PRÉNOM(S) ϟ Julian, Liam.
AGE ϟ Vingt-et-un an.
LIEU DE NAIS. ϟ Dublin, en Irlande.
MÉTIER ϟ Photographe. Très bon photographe.
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mais... qui es-tu ? CALME et PATIENT. Pour m'énerver, bon courage, c'est presque impossible. J'ai un selfcontrol à toute épreuve, et même le pire des comportements ne m'atteint pas. Je suis comme ça. Intouchable. Je suis capable d'attendre des heures sans montrer le moindre signe d'énervement ou d'impatience, sauf quand il s'agit de quelque chose que je veux; car tout ce que je veux, je l'ai, et dans la minute. Non pas que j'ai été spécialement gâté dans mon enfance, loin de là. J'ai juste ce côté CAPRICIEUX que beaucoup de monde a, sauf que moi, je ne le cache pas. Et pour obtenir ce que je souhaite, je suis prêt à tout. Très INTELLIGENT et MANIPULATEUR, je n'ai aucun scrupule à me servir des gens ou encore à MENTIR; je trouve ça même plutôt drôle de jouer avec les émotions et sentiments des gens, les rendre fous, les voir péter les plombs. Moi ? Je n'ai peur de rien. SÛR DE MOI, voir prétentieux, je suis conscient de mon talent, mais je reste très pointilleux; le moindre des défauts, que ce soit chez l'espèce humaine ou sur mes photos, je le remarque immédiatement et je ne lâche rien tant que ce n'est pas corrigé. Même si ça dure des heures, aucune importance. Oh, mais rassurez-vous, malgré tous ces défauts je suis quelqu'un de plutôt agréable, lorsqu'on a la chance de très, très bien me connaître. J'ai aussi un sens de l'humour à tout épreuve, même s'il est souvent plutôt sadique.
hum... hum... un dernier mot ? PSEUDO ϟ PIERPOLJAK; ou Clémentine, tout simplement. AGE ϟ 14 ans. AVATAR ϟ Nico Tortorella. ♥ TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟ Alors, 1; "Oh putaaaain c'est beau!" - 2; "Ah ouais... mais y'a beaucoup de monde, c'est galère pour s'intégrer ça. :sbaf:" - 3; "Mais bon, le contexte quoi. ♥" - 4; "Han ce scénario, il me le FAUT!" - 5; "Allez, j'm'incris." AUTRE ϟ C'est un pingouin qui lève une jambe, il trouve ça drôle, alors il lève la deuxième et il tombe.
Dernière édition par Julian L. Connelly le Lun 7 Fév - 23:41, édité 5 fois |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 16:52 | |
| Deuxième étoile, puis tout droit jusqu'au matin. Lorsque j'avais sept ans, je rêvais d'être Peter Pan. Mais je ne pouvait pas. Oh, j'avais une couverture bleue, et le plafond de ma chambre était étoilé, mais ça ne suffisait pas. Surtout parce que mon père avait un certain attrait pour la coke et que ma mère s'était barrée, en juin 1993, après avoir appris qu'il la trompait avec un homme. Depuis ce jour, je devais ramasser le vomi par terre, et m'assurer que celui que je n'avais jamais eu l'idée d'appeler papa, tant il me dégoûtait, ne clamse pas d'une overdose. Je me réveillais régulièrement sans qu'il n'y ait personne dans la grande maison, mais ça n'étonnait pas grand monde que pendant une semaine, je n'ai à me débrouiller tout seul. Surtout pas ma grand-mère paternelle, qui ne m'adressait la parole que pour s'assurer que je ne dise rien à personne. Parce qu'elle l'aimait, son fils, même s'il avait des défauts, même s'il était homo. La seule chose dont la vieille femme avait peur, c'était que ce petit bâtard, comme elle m'appelait, n'aille dire aux autres, « aux grands », quand elle s'adressait à moi, que mon père et son amant s'envoyaient en l'air dans la salle à manger et que leurs films pornographiques étaient rangés à côté de mes bandes dessinées. Bien sûr que non, je ne disais rien. Pas que j'étais con; je savais très bien que tout ça n'était pas normal. Je n'avais pas besoin de demander aux autres si leurs pères étaient comme le mien, je connaissais la réponse. Et ça me foutait la gerbe. Alors je ne pouvait pas être Peter Pan. Pas dans ces conditions. La fin de cette triste histoire, c'est que mon père et son amant se sont fait coffrés pour trafic de drogue, et j'ai été envoyé à Paris. Les deux seules choses que j'ai gardé de l'Irlande, c'est un certain traumatisme et un accent horriblement sexy, il paraît.
La première fois que je touchai un appareil photo, j'avais dix ans. Un mois après mon arrivée à Paris, exactement. Un cadeau de bienvenue ou une connerie du genre, avait prétexté ma mère ; la vérité, c’était qu’elle essayait de se faire pardonner son abandon, son départ précipité, son absence de nouvelles pendant plus de sept ans. Sept longues années où elle avait vécue seule dans la capitale française sans se soucier de quoique ce soit, surtout pas de sa progéniture, avec comme seul objectif de reconstruire son orgueil, profondément blessé après le coming-out de son mari. Elle n’avait pas considéré ça comme une erreur, au début, loin de là. Elle avait joué la mère irresponsable et avait trouvé ça plutôt plaisant. Jusqu’à ce qu’on lui refourgue son fils dans les pattes et qu’elle soit obligée de reprendre ce stupide rôle de maman, qui ne lui correspondait pas. Après tout, elle l’avait toujours dit, qu’elle ne voulait pas d’enfant. Que ce n’était pas pour elle, changer des couches, donner des biberons, donner de l’amour autrement qu’en le faisant. Mais son ex-mari l’avait poussée à le garder, et c’était à l’époque où elle était folle amoureuse et où elle n’avait peur de personne, même pas de Mandy la secrétaire ultra-sexy. Quelle conne. Maintenant, elle devait se mettre à genoux devant un gosse de dix ans pour qu’il lui adresse la parole, de peur que les services sociaux ne débarquent. Parce que depuis mon arrivée à Paris, j'étais resté muet. Je ne disais rien à personne, que ce soit à l'école ou dehors. J'envoyais tout le monde balader, avec un plaisir sadique en lisant l'incompréhension dans leurs yeux. « Mais pourquoi ? » J'étais incapable de le dire, de l'expliquer. Peut-être que j'avais eu mal que je cherchais à me protéger. Ou peut-être simplement que j'avais déjà ce côté sûr de moi, égocentrique et prétentieux qui ferait, dix ans plus tard, les gens m'adorer ou me détester.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ J'étais un connard, qu'on se le dise. Depuis mes dix-sept ans, âge à lequel les contrats avaient commencé à affluer, je baisais tout et n'importe quoi, sans morale ni conscience. Avide de célébrité et de gloire. Du talent, j'en avais, plus que n'importe qui d'autre, certainement. Le problème, c'était que je ne voulais pas le dévoiler au reste du monde, je ne voulais pas en faire profiter n'importe qui, alors je refusais les modèles qui ne m'inspiraient pas et jouais au photographe capricieux. Dans le monde de la mode, c'est un comportement qui peut vous coûter votre carrière ou, au contraire, la faire décoller encore plus. Moi qui n'avais jamais eu de chance à proprement parlé, la deuxième solution est arrivée sans même que je n'en comprenne l'ampleur. Du jour au lendemain, je voyais mon portable saturer de messages, des patrons m'appeler d'un peu partout. Et je continuais de refuser, d'envoyer se faire foutre ce qui insistaient; ce côté inaccessible, qui bientôt ferait ma renommée. Jusqu'à ce que je le croise. Jusqu'à ce qu'il change ma vie.
Tout comme mon mutisme quelques années plus tôt, j'étais incapable d'expliquer pourquoi. Pourquoi lui. Sa beauté, bien sûr, m'avait attiré vers lui plus que vers les autres; mais des canons, j'en avais croisé des milliers, et pourtant je n'avais pas hésité une seule seconde à leur claquer la porte au nez. Tout ce dont je me souviens, de notre rencontre, c'est que c'était il y a un an et demi. A un de ces banquets chiants à mourir, où il faut bien s'habiller, faire bonne figure, et faire la bise à des tas de filles insupportables et trop maquillées, mais super connues, alors tu-fermes-ta-gueule-et-tu-souris. Il était là, près du bar, avec son agent, à la voix horriblement aiguë, mais plutôt bonne, que j'avais baisé une dizaine de fois. Prétexte pour l'approcher, même si je n'en avais pas besoin. Tous ceux que je voulais, filles ou garçons, mais officiellement filles, je les avais. Là, en l'occurrence, c'était lui. Je le voulais pour mes photos, maintenant, tout de suite, et ça n'attendrait pas. « Mia, ça faisait longtemps, tiens. » Une vingtaine de minutes à l'entendre parler en priant assez fort pour que Dieu entende mon souhait qu'elle la ferme, et c'était gagné. J'avais l'autorisation de prendre le jeune homme, dont je ne connaissais même pas la nom, avec moi, pour une heure, voir deux, rien à foutre; je ne respectais aucunes règles, aucun timing, et ça, elle le savait. En même temps, comment aurait-elle pu refuser ? Déjà, c'était mon truc, d'envoyer se faire foutre les gens; ensuite, la moindre de mes photos faisait décoller la carrière de n'importe qui, alors elle n'allait pas se risquer à compromettre celle de son petit protégé.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ Le réveil indiquait huit heures. Mais lorsque j'ouvrais les yeux, chaque matin, et depuis neuf mois, ce n'était pas pour le regarder lui, mais quelqu'un d'autre. Quelqu'un qui, justement, n'était pas, contrairement à d'habitude, à côté de moi. Je fronçais les sourcils et prenais appui sur mes coudes. La pièce était vide, j'étais seul, et une boule se forma rapidement au creux de mon estomac. Je détestais ce sentiment; cette peur qui me prenait presque tous les jours, avant de disparaître au bout de quelques secondes. Quand il aura franchi la porte. Je refermais les yeux, faisant le décompte dans ma tête. Cinq. Quatre. Trois. Deux. Un. J'entendis la poignée s'abaisser, le bois effleurer le parquet. En moins de temps que je n'aurai été capable de compter, je sentis le matelas s'affaisser sous le corps de quelqu'un que je connaissais bien. Trop bien, même. Ça faisait neuf mois que c'était comme ça. Neuf mois, que, plusieurs fois par semaines, si ce n'était pas tous les jours, je m'endormais avec lui, me réveillais avec lui. La plus longue relation de ma vie, la seule. J'avais quand même attendu six mois, depuis notre fameuse rencontre. Six mois à le prendre en photo sous tous les angles, six mois à passer des soirées interminables dans mon studio, à boire de la vodka pour rester éveillés. Il était devenu ma muse. Ce terme pouvait paraître exagéré, mais il était totalement approprié à mes yeux; plus le temps passait, et moins je me voyais travailler avec quelqu'un d'autre. Ils semblaient tous fades, tous vides, à côté de lui. Jude.
Je sentis ses doigts caresser ma joue, ses lèvres effleurer les miennes. Ma main glissa le long de son dos, et je rouvris les yeux pour plonger mon regard dans le sien. Je ne le lui avais jamais dit, et il m'avait souvent blâmé pour ça, boudant dans son coin de temps à autre, mais je l'aimais. Comme jamais je n'avais aimé quelqu'un, comme jamais je n'avais imaginé pouvoir aimer. Du fond du cœur, de mes entrailles, je l'aimais oui. Cette attirance, presque magnétique, s'était transformée au fil du temps en véritable attachement. Rien que d'imaginer mes journées sans lui, ça me bousillait le cœur et me donnait envie de chialer. Mais j'étais incapable de le lui avouer. Alors j'essayais de le lui montrer, en espérant qu'il comprenne. Qu'il me comprenne.
Flashback. Il était vingt-trois heures. C'était un jeudi, et dehors le thermomètre affichait moins cinq. Cela faisait presque une journée entière que j'étais enfermé dans le studio avec Jude, arrivé la veille pour une séance photo; le problème avec moi était toujours le même, je n'étais jamais satisfait. Aussi beau et inspirant qu'il pouvait être, ça ne me suffisait jamais, je trouvais toujours quelque chose à redire. C'était ce pointillisme qui faisait mon talent, mais les séances s'éternisaient et je voyais dans les yeux de mon modèle préféré qu'il était temps d'arrêter. Cela faisait six mois que l'on travaillait ensemble, soit depuis août, et si au début je n'avais pas été des plus tendres avec lui, plus le temps passait et plus il me semblait que je devenais... gentil. Ou attentionné, quelque chose comme ça. Il fallait dire que la gentillesse et l'amabilité, ce n'était pas mon truc, loin de là. Alors lorsque ça m'arrivait, personne n'y croyait vraiment. « Julian ? » Je lui répondis par un vague haussement d'épaule, tout en continuant à ranger mon matériel; ces trucs coûtaient plus de dix mille euros, alors mieux valait en prendre soin.
Le contact de sa main sous mon t-shirt me fit réagir instantanément . En moins d'une seconde, je faisais volte-face et me retrouvais nez à nez avec lui, son visage à quelques centimètres seulement du mien. Je déglutis. Cette proximité ne me gênait pas, loin de là. Je sentais ses doigts jouer avec l'élastique de mon boxer, sans oser s'aventurer plus loin; son autre main qui me caressait le torse, hésitante; il attendait que je réagisse, ça se lisait dans son regard, et ce qu'il pouvait voir dans le mien me foutait la trouille. Parce que j'aimais ça, et j'avais peur que ça se voit. Qu'il le comprenne, et qu'il continue. Qu'il aille plus loin. Et que je cède.
J'avais cédé. En dépit de tout, de moi, de toutes ces limites que vous imposent la conscience, j'avais cédé et je me retrouvais chez moi, dans mon lit gigantesque dans lequel, si mes souvenirs étaient bons, je ne m'étais jamais retrouvé seul. Cette nuit là n'avait pas fait exception. Il était là, endormi, la main sous l'oreiller, l'autre posée sur mon bras, comme par crainte que je m'en aille. Il était adorable, avec cet air insouciant sur le visage, celui du gosse de dix-neuf ans qu'il était réellement et que je n'avais jamais vu, sous ses airs froids, professionnels et distants.
▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ J'entendis ses pas contre le carrelage de la cuisine. Sa voix qui m'appela, cette façon de prononcer mon prénom qui me faisait craquer à chaque fois. Je fixais le plafond depuis plus d'une heure, perdu dans mes pensées. Incapable de m'en sortir. Ce sentiment qui me serrait la gorge et qui m'empêchait de dormir depuis une semaine, m'empêchait de travailler et de respirer. La peur. Aussi loin que je m'en souvienne, je n'avais jamais eu peur. Même lorsque mon père me claquait contre le mur quand il en avait trop dans le nez, même quand je me retrouvais tout seul et que je devais me débrouiller. « Bonjour sweetheart. » Ces surnoms débiles qu'il utilisait pour s'adresser à moi. Il était le seul à en avoir le droit, il le savait et en profitait clairement. Je ne me retournais pas, feignant de n’avoir rien entendu. Il fallait que je le lui dise, je le savais ; et pourtant, plus il approchait, et plus la boule qui s’était formée dans ma gorge grossissait, m’empêchant de dire quoi que ce soit. Ce fut lorsqu’il posa sa main sur mon épaule que je réussis enfin. « Jude, t'es viré. » Je sentis son coeur se briser dans ma main et le mien exploser dans ma poitrine. Du sang giclait de tous les côtés, noyant le reste de mes organes; mon cerveau, tout, tout était foutu. « Pardon ? » Putain. J'avais prié pour qu'il ne réponde pas, pour qu'il n'insiste pas, pour qu'il rende les choses, pour une fois, un peu plus faciles. Mais j'aurais du m'en douter. Rien n'était jamais simple, avec Jude. C'était pour ça que je m'étais foutu dans une merde incroyable en me mettant avec lui, en entretenant pendant un an cette putain de relation secrète qui me bouffait de l'intérieur. « T'as entendu parler de Lise Johnston ? Le nouveau mannequin hollandais de chez Ford. Une pure merveille, je l'ai en shoot cette après midi. Un an, t'es complétement dépassé Jude. » Je n'ose même pas le regarder et c'est tant mieux. Tant mieux pour moi, tant mieux pour lui, mais surtout pour moi. Quoique, sinon il aurait vu les larmes me monter aux yeux, lui qui lit si facilement dans mon regard. Il aurait vu aussi la douleur, la regret, toutes ces conneries, vous savez, auxquelles je ne croyais pas. Avant de le connaître lui. Juste lui.
Dernière édition par Julian L. Connelly le Lun 7 Fév - 22:59, édité 26 fois |
| | | Invité
| | | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 17:10 | |
| TOOOOI. ♥ Merci à toi, j'espère que ma présa' t'ira. (: |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 17:11 | |
| Ô Nico le magnifique. Je suis déjà amoureuse... Bienvenue en tout cas |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 17:28 | |
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| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 17:32 | |
| GOD xD J'me suis écroulée sur ta blague du pingouin ! Bienvenue, ex- beau frère d'une nuit (a) |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 17:35 | |
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| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 17:56 | |
| je suis beaucoup mieux que Jude (a) |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 17:57 | |
| Peut-être, mais t'est déjà pris (a) |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 17:58 | |
| - Winnie P. Jagger a écrit:
- Peut-être, mais t'est déjà pris (a)
ça m'empêche pas de te tromper. car dans le contrat, c'est toi qui doit pas me tromper xD |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 18:00 | |
| Au risque de prendre des coups, et sévère ? Ah, non, ça c'est le scénar' yael/winnie x) |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 18:07 | |
| je vous laisse nico j'ai jeté mon dévolu sur jeremy young xD |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 18:15 | |
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| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 18:18 | |
| BIENVENUE |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 18:18 | |
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| | | Invité
| | | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 18:53 | |
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| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 19:25 | |
| PIERPOLJAK, je suis fan. puis le titre de la fiche Bienvenue ! |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 19:44 | |
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| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 19:56 | |
| Bienvenue |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 19:57 | |
| je ne connaissais pas ce type mais gosh, qu'il est sexy bienvenue, et très bon choix de scénario je me demande s'il va rester des hétéros pour nos pauvre donzelles, m'enfin ... |
| | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 20:00 | |
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| | | Invité
| | | | Invité
| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ Dim 6 Fév - 20:04 | |
| nico est vraiment très hot |
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| Sujet: Re: JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ | |
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| | | | JULIANCONNELLY; these violent delights have violent ends ❞ | |
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