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| Sujet: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 1:28 | |
| crédits > tumblr
worthmington anderson pâris
Bonjour, je me nomme Pâris A. Worthmington j'ai 42 ans , je suis né le 14 Décembre 1969 et je viens de Seattle .
QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT ?
3 ϟ je soulage mes besoins naturels : Lucky Strike.
QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ?
2 ϟ tous les jou... euh... lundi, c'est McDo !
QUE PENSEZ-VOUS DES MANNEQUINS ?
3 ϟ ouais... euh... pourquoi ?
QUE FAIS-TU DE TON TEMPS LIBRE ?
2 ϟ je me tape des mannequins
TU ES DANS LE TRAIN POUR AU MOINS TROIS BONNES HEURES, QU'ÉCOUTES-TU ?
1 ϟ rolling stones
| NOM ϟ Worthmington
PRÉNOM(S) ϟ Pâris Anderson
AGE ϟ 42 ans
LIEU DE NAIS. ϟ Seattle
MÉTIER ϟ Photographe
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mais... qui es-tu ? Les personnes qui ne lui sont pas indispensables ne le rencontrent qu'une fois et c'est souvent suffisant pour eux. Pâris parle peu, et lorsqu'il émet une poignée de syllabe le ton est profondément ironique. Cela lui a valu plus d'un ennui qu'il ne règle jamais vraiment, prêt à poursuivre dans sa lancée sans se soucier des conséquences. Mais en certaines occasions, il peut se révéler amusant s'il connait un tant soi peu son interlocuteur ou qu'il délaisse son tempérament explosif pour se relaxer. Il est célèbre en tant que photographe pour insulter de temps à autre les modèles, remettant le règne de la beauté à sa place avec son doigt d'honneur ; impossible d'avoir une seconde d'attention sérieuse de sa part. Malgré ce comportement, des gens s'attachent à lui, et plus d'une mannequin est parvenue à aller au-delà de cela pour fournir une prestation acceptable et le retrouver ensuite dans sa loge. La maturité ne l'a jamais vraiment trouvé malgré le temps qu'il a passé sur le globe, passant d'un continent à un autre, devenant plus exigeant et irascible. Difficile de l'imaginer en tant que père même si son comportement devient radicalement différent. Plus autoritaire, plus responsable, il s'emploie davantage à ouvrir les yeux de sa fille tout en la préservant du monde. Savoir qu'elle veut être mannequin a le don de l'agacer et ses plus proches collaborateurs en subissent les frais.
oh je vois ! et alors, c'est quoi ton histoire ? Il comptait reprendre la route dès ce soir. Ce bled transpirait l'ignorance, et aucune photo prise la veille ne l'avait vraiment emballée. Seattle lui manquait, cette poupée toute en chair loin de la vulgarité de Boston. Fumant une clope avidement tout en revenant au motel, il fut surpris de voir que dans la piaule il n'y avait que de la lumière dans la salle de bain ; « On fait déjà des économies chérie? » minauda-t-il tout en créant de la luminosité dans toutes les pièces. Julia était agenouillée dans un coin de la chambre, à proximité du lit, tenant ses jambes et le visage barbouillé de larmes. « Oh. » Pâris pencha la tête sur le côté, cessant de téter sa clope et s'approchant lentement, ne parvenant pas à se départir d'un sourire même si la situation semblait appeler au sérieux. Face au regard sévère de Julia, il resta silencieux tout en s'agenouillant et à sa phrase « Je suis enceinte » il répondit « Shit. ». Embrayant juste après : « Et bien sûr, on est sûr que je suis le... ». Il ne finit pas en voyant maintenant une lueur meurtrière dans les pupilles de Julia.
Avant d'être un photographe et de mettre en cloque une rousse, Pâris traînait dans un quartier de Seattle. Dès son plus jeune âge, il était bercé par les Beattles que vénérait sa mère et les Stones par son père, dans la bagnole, à cent-vingt. Sa personnalité était semblable à celle de milliers d'autres gosses dans le pays et il fallut attendre ses dix ans pour qu'il mette la main sur un appareil photo et qu'il soit fasciné par l'engin. Figer une image lui paraissait être un acte diaboliquement plaisant, qu'il comparerait plus tard à un orgasme une fois qu'il aurait fait la connaissance charnelle d'une brunette à l'arrière de son bolide. Il pouvait battre le temps, en prendre un bref morceau et le garder précieusement. Pâris pouvait se permettre cette passion avec le salaire de médecin que ramenait son paternel à la baraque. Lorsque ses études durent l'orienter vers un secteur, ce fut une évidence qu'il tâte de la photo. Dès ses vingt-ans, on remarquait peu à peu sa maîtrise, son style, et il travaillait principalement sur les paysages. Les grandes avenues, les forêts, les étendues d'eau ; tout cela lui était commandé par des magazines ou même des galeries d'arts, reconnaissant en lui un type prêt à sillonner les Etats-Unis pour un cliché. Dans ce périple qui lui servait en quelque sorte de formation pour ses études, il rencontra Julia. C'était une sacrée gonzesse, des reins sculptés à merveille et c'est derrière l'objectif de son appareil photo qu'il la repéra. Et qu'elle aussi : lui demandant s'il voulait bien la prendre (« sans le moindre préliminaire? » demanda-t-il naïvement) en photo, rajouta-t-elle. Elle posa dans un bikini, sur la plage, et après dix minutes à la mitrailler, ils en vinrent à entamer une liaison sulfureuse alors qu'il n'était qu'à peine sortie de l'adolescence et ne connaissait pas grand-chose aux femmes. Julia avait le même que lui mais du côté de la Nouvelle-Orléans les mœurs étaient plus libérés, lui conférant ainsi un aura d'érotisme indiscutable et qu'il put profiter désormais tout en roulant. Deux ans plus tard, alors que maintenant on lui accordait un statut semblable à celui d'un photographe professionnel, Pâris se retrouva père. Ce fut, sur l'instant, un coup de scalpel dans les amygdales avant de devenir ce qu'il avait fait de mieux dans sa vie.
« Hum, pourrais-tu lever les bras? Avec les mains aussi, ce serait pas mal. » Il prit en photo Shirley, une blonde montante, tout dans la poitrine, réduction dans le cerveau. Même si cela n'était pas exact, Pâris considérait toutes les mannequins comme des sacs de beauté, des sacs d'os, qui servaient à alimenter les triques des pervers ne désirant pas se payer un porno. Que Julia soit devenue une mannequin l'emmerdait, et qu'elle soit la plus célèbre aussi : leur relation était de l'ordre du conflit, loin de l'amour qu'il chérissait sur les routes. Worthmington opérait sur Seattle, ayant la charge de leur fille alors que Julia traînait en Europe, en Asie, devenant l'égérie de plusieurs marques. Les brefs retours à la baraque se résumaient à des disputes sous les yeux encore trop juvéniles pour comprendre de sa lolita. La petite Worthmington ne manquait pas d'attention, Pâris comblant l'absence de sa mère du mieux qu'il pouvait ; mais plus elle prenait de l'âge, plus il se sentait en danger. Quand elle ne disait rien, il pouvait s'en griller plus d'une dans la cuisine ou insulter au téléphone des propositions d'emplois. Maintenant il avait droit à des « Ecrase ta clope » ou « Sois poli. », devenant l'enfant de leur duo.
« Si je suis le mari de Julia? Pas légalement, et ça dépend de certaines semaines, pourquoi? » « Je suis dans le regret de vous annoncer que son avion a eu un accident. Pour l'heure, nous n'avons [...] » Sa clope tomba sur le plancher et il ne remarqua même pas que sa fille l'avait récupéré avec un soupir et écrasé elle-même dans un cendrier. Lorsqu'il eut raccroché le téléphone, il prit pour la première fois un air sérieux envers sa fille, l'inquiétant doublement. Et ce fut comme des coups de couteaux pour lui chaque larme qu'elle versa une fois qu'il lui annonça la nouvelle. A l'enterrement, ils portaient tous les deux des lunettes noires, et elle avait insisté pour avoir un smoking elle-aussi. Sa mère lui avait toujours dit d'être contre la mode, contre ce qu'il se faisait couramment. Mais malgré son air détaché, elle ne put s'empêcher alors qu'ils étaient désormais seuls, à l'écart, d'entourer les jambes de son père et de pleurer. Pâris, aussi blessé qu'elle, parvint à attraper son menton dans sa main remplie de bagues et de susurrer : « Je suis là, princesse, et je serais toujours là. »
Les années passèrent, la crise d'adolescence se déroula lentement aux yeux de Pâris, subissant les caprices, les colères et les envies de sa fille. S'occuper d'une gamine n'avait rien à voir avec s'occuper d'une adolescente : mais il géra. Et, d'une certaine manière, son sens de l'art et sa vision des choses conféra à sa pupille des armes utiles au monde. Il l'éduqua à sa manière, lui calant entre les mains des bouquins peu reluisants d'apparence mais l'élevant lentement au point que même si ses expérimentations dans la drogue et l'alcool avaient don de modifier Pâris, le rendant plus agressif, la débauche de sa fille n'atteint pas des sommets et elle parvint à se réguler elle-même. Lui ne pouvait pas en dire autant. Julia était un poumon manquant pour lui désormais, et les mannequins, il les baisait plus souvent qu'il ne les photographiait. La plupart des bars de Seattle ont cessé de faire leurs publicités sur le passage du photographe professionnel tant il s'est rendu dans tous. Le clash survint lors d'un shooting où, ivre mort, il n'a été à même de ne donner que des photos de cuisses et de bras. Sa fille l'a sevré mais le mal était déjà fait.
A plus de quarante ans, une reconversion était impossible. Il avait déjà écrit quelques livres plus ou moins célèbres mais rien de fantasque, rien de transcendant au point de faire vivre le foyer. Ce fut entre deux clopes, méditant sur ce qu'il allait bien pouvoir faire, qu'une mannequin débarqua dans son existence avec le désir qu'il la prenne en photo. Elle ne voulait que lui. Okay, au point où il en était : la séance se passa bien même si Pâris se méfiait de la mannequin, se demandant d'où elle tirait son intérêt pour lui. Cela le remit sur les rails en tout cas. Au point qu'on lui demandait de bouger de sa ville d'amour pour Paris ; Pâris à Paris, ça lui plaisait bien, et sa fille n'a pas manqué de suivre le mouvement, voyant là une opportunité de devenir une mannequin. Au grand désespoir de Pâris
hum... hum... un dernier mot ? PSEUDO ϟ citizen AGE ϟ twenty AVATAR ϟ Johnny Depp TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟ Oh gosh AUTRE ϟ Let's spend the night together
Dernière édition par Pâris A. Worthmington le Mar 8 Fév - 22:56, édité 6 fois
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 2:32 | |
| DEPP Il t'es réservé pour 5 jours Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche Et n'hésites pas à déranger les admins si tu as besoin de quoi que ce soit |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 2:36 | |
| OH JOHNNY (je l'aime) BIENVENUE |
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COLD HARD BITCH ϟ your latest attraction
POSTS : 547 INSCRIPTION : 10/01/2011 CITATION : Fame is a vapor, popularity an accident, and riches take wings. Only one thing endures and that is character. AVATAR : Leighton Meester CREDITS : DISTURBING MIND - tumblr AGE : 33 LOCALISATION : Quartier du marais, Paris. EMPLOI : Model JUKE BOX : JET. cold hard bitch ϟ NOIR DESIR. a ton étoile ϟ ALICE COOPER. i'm eighteen ϟ THREE DAYS GRACE. life starts now ϟ AC/DC. back in black ϟ HIM. beautiful ϟ NINE INCH NAILS. terrible lie ϟ PETE YORN. lose you
Feuille de personnage AGENCE: Elite RELATIONS:
| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 2:57 | |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 3:43 | |
| Bienvenue ! Depp |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 10:01 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 12:51 | |
| JOHNNY Hâte de voir ce que tu vas en faire |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 15:25 | |
| Bienvenuue |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 19:43 | |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 19:50 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Lun 7 Fév - 20:03 | |
| Merci à tous pour l'accueil, j'ai un peu de pression en incarnant Depp mais bon, depuis le temps que j'ai envie de me glisser sous ses traits. Je te retiens Sierra, ce sera un vrai plaisir d'avoir un lien. J'essaie de me magner pour prendre en photo les beautés qui traînent dans le secteur d'ici peu. |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Mar 8 Fév - 20:03 | |
| Double post pour notifier que j'en ai terminé. |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH Mer 9 Fév - 11:34 | |
| Tu es validé bon jeu ! |
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| Sujet: Re: Worthmington : « Nothing is static. Even the Mona Lisa is falling apart. » ; FINISH | |
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