Invité
| Sujet: Key * I AM WHAT I AM (FINISH) Mar 25 Jan - 12:16 | |
| crédits ϟ © Lipstick
FRANDIS Keila Bonjour, je me nomme Keila FRANDIS j'ai 23, je suis né(e) le 12 mars et je viens de Londres.
voici la partie questionnaire, vous ne devrez laisser qu'un choix pour chaque question.
☞ QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT ? 2 ϟ je mange ! bah quoi, il faut bien se nourrir !
☞ QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ? 1 ϟ je suis végétarien...
☞ QUE PENSEZ-VOUS DU MANNEQUINAT ? 4 ϟ humm...
☞ QUE FAITES-VOUS DE VOTRE TEMPS LIBRE ? 4 ϟ je file à mes entrainements, le sport c'est la vie.
☞ JUSQU'OÙ IRIEZ-VOUS POUR DÉCROCHER UN CONTRAT ? 4 ϟ un de plus, un de moins...
| NOM ϟ FRANDIS PRÉNOM(S) ϟ Keila AGE ϟ 23 ans LIEU DE NAIS. ϟ Londres DATE DE NAIS. ϟ 12 mars 1988 TAILLE ϟ 165 cm. TOUR POITRINE ϟ 90 cm. TOUR TAILLE ϟ 64 cm. TOUR HANCHES ϟ 89 cm. POINTURE ϟ 37.
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mais... qui es-tu ?
Comme toute fille de ma famille, j’ai vécu en étant couvé d’amour de la part de mon père. Il a toujours veillé à mon bonheur, que je ne manque de rien. Il a toujours fais en sorte que j’arrive à devenir ce que je veux. Mais il a aussi veillé à mon caractère. Je n’avais jamais eu quelque chose si ce n’était pas mérité. Ce qui m’a permis d’être très reconnaissance, et persévérante. Car lorsque je désire quelque chose plus que tout, je donne tout ce que je peux pour y parvenir. Comme devenir mannequin par exemple… Je suis aussi très famille, très attentionnée. J’aime prendre soin de mes amis, et de mes proches. Quand j’étais petite, j’avais tendance à être assez naïve, ce qui agacé souvent mon frère, mais aujourd’hui, j’ai plutôt tendance à être méfiante, et surement trop. J’ai aussi tendance à être trop rêveuse, et tête en l’air parfois mais ça je ne peux rien y changer, au moins cela me permet de m’évader après de dures journées de travail à la Fac ou dans les studios. J’ai aussi tendance à vouloir en faire qu’à ma tête si je trouve que quelque chose ne va pas comme ça, je la change sans rien dire et après je subis les conséquences. Donc je sais prendre des initiatives, mais parfois je ferais mieux de rester sans rien faire, et de me taire. Car oui j’ai une grande bouche. J’aime parler et dire tout ce qui me passe par la tête, sauf si bien sûre je suis intimidé par mon interlocuteur.
oh je vois ! et alors, c'est quoi ton histoire ?
Quand je me suis réveillée cette nuit là, j’étais loin d’imaginer que j’allais perdre l’endroit où je vécu mes plus beaux souvenirs, ainsi que la plupart des objets qui y avaient contribué.
Dans la grande ville de Birmingham, renommé pour son coté cosmopolite, bourgeois et pour les fans de la mode avec ses grands studios, mes parents possédaient une grande maison, avec jardin et tout ces trucs modernes qui vous arrangent la vie… Moi je dirais plutôt qui nous conduisent vers la fainéantise mais bon… Et je vivais donc dans une famille aisée, aimante mais surtout omnibulée par le travail. Car mon père, grand ingénieur dans le secteur informatique dont la croissance économique était en pleine ascension, passait son temps à voyager entre Paris et Londres, tandis que ma mère célèbre danseuse de ballet, s’amusait à parcourir le monde pour ses représentations. Résultat, il m’arrivait de voir mes parents un jour par semaine voir deux quand j’étais plus chanceuse. Et ce fut donc Tony, mon grand frère qui passa le plus de temps avec moi possible quand ce n’était pas notre « nounou » , cette vieille Astrid grincheuse, sévère et aussi laide que la sorcière dans Blanche Neige et les sept nains de Disney, qui nous surveillait. D’ailleurs, celle-ci nous en aura fait voir de toutes les couleurs, mais elle nous aura aussi permis d’avoir des crises de fou rire mémorable, ainsi que des jeux de regards et de mots entre Tony et moi, dont nous étions les seuls à en connaitre la signification, ce qui bien sûre rendait fou mes parents qui ne comprenaient en rien pourquoi nous étions si hilare. Et cette complicité entre lui et moi, fut l’une des choses inoubliable que je me souviendrais toute ma vie, car le temps ne change en rien ce lien si fort, même si maintenant il habite à Manhattan et que son emploi lui prend énormément de temps sur sa vie, il n’oublie jamais de m’appeler tout les jours pour prendre des nouvelles et parler de tout et n’importe quoi. Et parfois je me demande, si son rôle protecteur ne viendrait pas de cet incendie qui ravagea tout sur son passage.
Cette nuit là, je me souviens m’être réveillée en toussant, car je n’arrivais plus à respirer et ce fut à ce moment même que je vis toute cette fumée glisser sous le pas de ma porte. Affolée, j’avais sauté de mon lit, et je m’étais jeté sur mon bureau pour récupérer mon book, cet énorme livre de photos que je me donnais tant de mal à finir pour pouvoir réaliser mon rêve et soudainement je m’étais figée en entendant des hurlements d’agonie ou autres. Et ce fut à ce moment là que la porte s’ouvrit avec fracas, et que dans un sursaut, suivis d’t ce fut à ce moment là que la porte s’ouvrit avec fracas, et que dans un sursaut, suivis d’un cri d’effrois je vie mon frère blessé, et en sueur se jeter vers ma fenêtre qu’il pulvérisa d’un coup de coude.
- Keila !! Prends ma main et viens vite !
Mais je ne bougeai pas. Je me contentais de fixer sa main, mon book collé contre ma poitrine. J’étais tétanisé, choquée, incapable de faire un geste, un pas, de prononcer un seul mot. Je ne comprenais même pas ce qu’il se passait. Pourtant mon frère avait l’air sur de lui, fort, courageux surtout, et malgré ces ordres de plus en plus violent, je restais de marbre.
- Bon sang Key, dépêche-toi bordel!!
Et sans me rendre compte de quoi que se soit, je fus soulevé et projeté au sol, le visage écrasé contre la pelouse, tandis que notre maison s’écroula soudainement. Le bruit fut assourdissant, que je m’en bouchais les oreilles les mains plaqué contre. Je fus soulevé à nouveau et remise sur pied, puis serré soudainement contre un corps brulant, dont le cœur frappait contre sa poitrine et résonner dans la mienne. Et ce fut à ce moment là, que je compris que mon frère venait de nous sauver la vie à tout les deux. Je m’étais blottie contre lui, lâchant mon book par terre, la seule chose que j’avais pu sauver, de notre maison. Le seul objet, de simples photos de moi alors que j’aurais pu sauver des albums entiers de notre famille ou quelque chose de sentimentale, comme un bijou de ma mère ou je ne sais pas. Mais non ce fut ce livre qui était la porte de ma passion. Devenir mannequin, alors que je n’avais pas la taille demandé, que je n’avais pas les jambes demandés, que je ne ressemblais pas à toutes ces filles aussi fines que des aiguilles, qui ne mange pas, qui ne vivent pas la vie de leur rêves, qui passent leur temps sur des podiums à suivre des ordres de plus en plus exigeant… Et pourtant je me tuais, et je m’étais tuée à vouloir y arriver. Et je continuerais à tout donner pour y parvenir, car je n’avais jamais autant pleuré de toute ma vie cette nuit là, versée des torrents de larmes contre mon frère qui me berçait et qui tentait de me réconforter alors que lui-même retenait ses sanglots. Pourtant personne n’était mort. Mes parents n’étaient pas là, tout deux occupés ailleurs dans le monde, et Astrid, cette bonne veille Astrid, peureuse comme un rien avait hurlé car elle avait eu peur d’une lance d’incendie d’un pauvre pompier. Bref, de toute façon, je ne l’ai plus jamais revu depuis ce jour et ce ne fut pas une grosse perte.
Mes parents apprirent le lendemain matin la tragédie, et d’après une enquête, une fuite de gaz était à l’origine de l’incendie. Nous dûmes donc repartir à zéro, et ce fut en France, à Paris que mes parents décidèrent de nous amener. Mon père se rapprochait ainsi de son travail et quand à ma mère se fut plus facile pour les déplacements. Quand à mon frère, il quitta la maison pour voler de ses propres ailes et parti donc pour l’Amérique à ma plus grande tristesse. Mais j’étais aussi contente pour lui, car je savais qu’il deviendrait le plus grand avocat que le monde n’avait jamais connu et ce fut chose faite, car aujourd’hui, il fait parti des plus grand noms de la justice américaine, et ceux à la plus grande fierté de mes parents. Quand à moi, je dus abandonner Oxford, mes amies, tout mes souvenirs parti en fumée, pour tenter de recommencer une nouvelle vie à Paris. Mes parents m’aidèrent à m’inscrire dans une Fac de lettres, et je continuais en dehors de mes cours à essayer de percer le marché de la mode, car Paris était peut être la chance de ma vie. Malheureusement j’étais loin de me douter, que ça allait devenir pire qu’un cauchemar. Car de castings en castings, je me faisais éjecter à cause de ma taille. Et d’année en année malgré ma persévérance, ma motivation et mon caractère qui devenait de plus en plus dur à cause des défaites, le monde de la mode était de plus en plus violent avec moi. Jusqu’au jour, où enfin on m’offrit une chance. Une chance qui changerait ma vie à jamais. Un homme crut en moi. Je me souviens de ses mots lorsqu'il dévora des yeux mon book pendant que j'étais assise devant ton bureau, en train de m'entortiller les doigts tellement j'étais nerveuse.
- Je n'ai jamais vu un tel regard, une telle profondeur. On y voit le monde à travers tes yeux!
Et je me souviens l'avoir regarder surprise, essayant de déchiffrer où il voulait en venir mais je n'eus pas le temps de poser des questions, car il se leva et me prit par la main pour me conduire directement en studio pour que son photographe me mitraille le visage dans tout les angles. Je jouais le jeu, changeant de positions, d'émotions, allant même jusqu'à jouer la charmeuse, la catin. En une après midi, je venais de voir s'envoler toutes les épreuves difficiles que j'avais traverser avant d'obtenir enfin ma chance et quand le soir même après la séance photo, il m'emmena observer les tirages, je fus surprise moi même, de voir à quel point il avait raison. j'avais un regard profond, une intensité dans mes prunelles que je n'avais jamais remarqué auparavant. Si bien, qu'il me proposa directement un contrat pour une grande marque de maquillage. Et je ne mis pas dix ans à réfléchir car le soir même, je venais de signer avec lui. Mais, ce que je ne savais pas une fois entrée dans cette agence, est que je n'allais pas faire que des poses pour du make up, loin de là, et que le charmant manageur auquel j'avais eu la chance d'être représenté, était loin d'être ma grosse tête de l'entreprise...
Et plus les jours passèrent et plus je me métamorphosais. Je prenais de plus en plus soin de moi, faisais attention aux couleurs de mon maquillage, de mes tenues.... Je veillais à chaque détails, je ne sortais plus sans être le plus chic possible. Je passais de plus en plus de temps dans la salle de bain, dans les boutiques de mode derniers cris. Je commençais même à sécher les cours, moi qui aurait tout donné pour devenir journaliste de la mode... Mes parents ne s'en inquiétèrent en rien puisque leur absence n'avait guère changé quand à Tony se fut différent. Même à des milliers de kilomètres et au bout d'un combiner, il avait compris je ne sais comment que quelque chose avait changé dans ma vie. Au départ, il cru que j'avais un petit ami, chose impossible car je ne suis jamais sorti avec un homme durant toute mon adolescence... Pourquoi? Parce que j'avais un frère protecteur et que je n'en voyais pas l'utilité car j'avais tout l'amour qu'une fille puisse désirer, bon certes je n'avais pas les câlins et le reste, mais comme je ne savais pas ce que c'était, je ne ressentais pas ce besoin. Mais après avoir bataillé de longue heures au téléphone avec mon frère sur ce sujet, il abandonna enfin cet hypothèse pour enfin admettre que j'étais sur le point de m'envoler dans la carrière de mes rêves. Mais il restait méfiant. Trop méfiant, allant même à m'interdire de faire certaines poses, certaines propositions de contrats, et parfois mêmes des fréquentations. Ce qui évidemment mettait un léger froid entre nous, car têtue et boudeuse pour un rien, je partais vite au quart de tour. Mais il avait toujours les mots pour me rassurer, si bien que cela ne durait jamais longtemps. Sauf qu'il avait oublié un point essentiel. Ce domaine lui était inconnu, et quant à moi, c'était ma passion. Alors peu importe ces conseils, il n'était pas là pour vérifier que je les appliquais à la lettre. Et il était temps que je vole enfin de mes propres ailes.
A l'heure d'aujourd'hui, je suis enfin locataire de mon propre appartement à deux minutes à peine de mes parents. J'ai obtenue mon diplôme après m'être donné à fond, et je suis dans une agence de mannequinat, ce qui n'a guère changé. Quand à moi même, j'essaye de ne pas tomber le monde sombre de ma passion. Car tout est loin d'être facile... entre les remarques du genre "tu as pris cent grammes, il fait les perdre immédiatement" ou "bon sang ce que tu as grossi en une nuit!", suivit des ordres constant des défilers ou des shooting photos, des problèmes de drogues, de nourritures, de jalousies, d'hypocrisie, sans oublier le sexe qui est surement celui qui me fait le plus peur... car la plupart ont couché pour obtenir des privilèges (Chose que je n'ai jamais faite dans tout les sens du thermes), il faut savoir se donner à fond pour devenir reconnue et avoir un nom.
hum... hum... un dernier mot ? PSEUDO ϟ Alice AGE ϟ 25 AVATAR ϟ Ashely Greene TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟ très sombre AUTRE ϟ I'm singing in the rain
Dernière édition par Keila Frandis le Sam 29 Jan - 2:01, édité 7 fois |
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