oh je vois ! et alors, c'est quoi ton histoire ?

mais... qui es-tu ?

“ Les enfants doivent être indulgents envers les grandes personnes. ”

- « Non mais tu l'as vu, ton gamin est un vrai calvaire retient le . » elle baisse les yeux, la remarque de son amie la blessée, elle lance un regard furtif à son enfant, assis un peu plus loin faisant mine de jouer. « Tu n'as pas m'ordre à me donné, oh moins mon fils à une âme lui, il n'est pas conditionner comme ton stupide gamin qui ne pense jamais par lui-même. » non elle ne supporterait pas qu'on critique son enfant. « Si tu le vois comme ça, je voulais juste t'aider. Ton gamin il est intenable, tu devrais lui apprendre à ce l'a fermer et à être plus respectueux.» la mère d'Otto furieuse regarde son amie se lever. « Je suis la seule à pouvoir critiquer mon enfant. » elle s'en va elle aussi furieux, jetant un regard à Otto comme s'il n'était qu'un vulgaire insecte sur son passage, l'enfant la regarde droit dans les yeux sans ciller. « Vous êtes pas très jolies avec toutes ses couleurs sur votre visage, on dirait un pot de peinture. » il lui sourit et luit end une fleur « Tenez, ca vous rendra plus jolie. » outrée la jeune femme écrase la fleur dans sa paume « Tu es odieux Otto. » elle s'en va, l'enfant la regarde perplexe il ne comprend pas. « Otto viens là mon chaton, ton père va arriver. » l'enfant hausse les épaules et se jette au coup de sa mère. « Il va aimer le gâteaux? » sa mère le prend dans ses bras, lui passe une main affectueuse dans sa chevelure brune. « J'en suis certaine. » l'enfant se décolle d'elle pressé que son père arrive, oh non le petit Otto n'a jamais eu une enfance triste, elle aurait pu être meilleure, car il n'était pas l'enfant les plus gâté, une famille au revenu normal parfois, l'argent manquait. « Aufaite maman elle voulait quoi la mère de Sorin? » elle lui sourit, non il n'était pas intenable il était adorable, c'était sans doute de la jalousie qu'elle ressentait car, Otto avait tout pour lui? « Rien du tout, elle parle beaucoup sans rien dire. » il fronce les sourcils, il avait bien vu qu'elle était énervé mais ce fut un réponse trop ennuyeuse à chercher « Papa arrive bientôt? » impatient l'enfant sautillait sur place. «Otto calme-toi tu vas te faire mal. » il continua à courir autour de la table « Ma maîtresse à dit que j'avais besoin de dépenser beaucoup d'énergie car j'étais trop dynamique.... ensuite elle m'a punie car j'étais trop..trop.... » sa mère le regarde avec un large sourire et stoppa sa course «Bruyant? Turbulent? » il hocha la tête «Alorsjemedépenseen...courant et
attendant...papa.... » elle sourit «Respire Otto, on ne comprend rien à ce que tu baragouines! » il se stoppe. « voilà ton père.» Otto s'écarta de sa mère à cette affirmation et ce mit à gambader jusqu'à la porte d'entrée « Papa!!!. » l'enfant se jeta au coup de son père qui le réceptionna « Mon fiston! » il s'approcha de sa femme et déposa un baiser sur ses lèvres. « Hé m'écraser pas!!!»


“ La jeunesse est une ivresse continuelle ; c'est la fièvre de la santé ; c'est la folie de la raison. ”

- « Otto? » jeune brun de seize ans désormais, voilà que l'enfant qu'il était il y a des années c'est enfuit pour ne jamais plus revenir. Il se tourna vers cette fois féminine qui posa une main sur son épaule. « Oui?» dit-il en souriant, il voyait bien l'embarras de la jeune fille, il fronça les sourcils et amusé il attendait patiemment en regardant par-dessus l'épaule de la jeune fille, inattentif à e qu'elle pouvait lui dire, elle avait dû insister à ce qu'il remette son regard vers elle. « Je t'écoute je t'écoutes mais tu ne dis rien alors je m'occupe, le temps que tu trouves tes mots. » dit il pour se défendre. « Tu n'es pas compatissant; » il mit son regard vers elle, ah elle avait réussi à ramener son intention. « Compatissant à quel sujet? » elle soupire agacée qu'elle doit lui expliquer. « A ma situation. » intrigué le jeune homme, cherchait en quoi il n'était pas compatissant, et pourquoi devait il l'être? « Je t'écoute bordel qu'Est-ce que tu me veux? » elle lâche un soupire et ce passe ses cheveux derrières son oreille. « Bouffon, je veux sortir avec toi. » il ricane légèrement, détourne le regard, il lui rit au nez tout simplement. « Et moi si je ne veux pas-tu me déteste? » elle cache sa colère, elle sait bien qu'il la taquine un peu. « Essaye pour voir. » elle ne se laisse pas faire, et plante son regard dans le siens que vas t-il répondre? Elle n'en sait rien car il est serait capable d'aller au bout de sa taquinerie et devenir sans doute s'excuser après. « Humm... tu m'excusera mais tu n'es pas mon genre de fille. » d'un seul coup comme ça, il lui lance de tel mot à la figure. « Tu plaisantes? » il a perdu tout lueur de plaisanterie dans son regard. « Non j'en ai l'air. Trouve un autre larbin, je ne serais pas le tiens. » il a bien vu qu'il la blessée mais, il n'allait tout de même pas lui mentir et faire l'hypocrite, mais où était donc passé sa sympathie? Elle était remplacée par cette brutalisé et franchise dans se phrase « Connard!! » il sourit, pourquoi? Car pour la petite brune tous les gars qui la refusent sont des connards, par gentillesse et respect il se retient de rire. « Tu n'es pas obligée d'insulter les gens car ils te refusent. A croire que tu n'es pas parfaite du tout. Raisonne toi un peu avant d'insulter les autres. » il reste si solennel comparé à la jeune fille qui bouillonne sur place et ne tarde pas à plaquer sa main contre la joue du roumain. « Non mais tu aurais pu être gentil et délicat. » il hausse les épaules « La délicatesse? Ca ne me connaît pas. » elle se met à pleurer « Où est passé ta sympathie Otto ? » il la regard, il ne s'en veut pas mais, il sait qu'il a été trop rude avec elle, s'approchant d'un pas il la colle contre lui. « Elle est là, toujours là. » elle croyait pourtant qu'il était colérique. « Je dois juste éviter d'être gentil avec toi » elle cherche à se décoller de lui mais elle n'y arrive pas. « Amour impossible, lâche l'affaire. » il la lâche « Même dans tes plus jolies rêves, je ne serais jamais ton prince charmant. » il tourne les talons et mains dans les poches il la laisse derrière lui. Plus loin, son ami ayant tout vu se rapproche de Otto « Tu n'as pas été un peu trop dur. » il hausse les épaules. « Non, elle a ce qu'elle méritait. » il regarde son ami « Tu as de la peine pour elle? Alors que c'est elle qui t'as trompé. » il lève les yeux au ciel et soupire « laisse moi rire. » le roumain ricana, oui il pouvait être mauvais qu'avec certains types de personnes. « Bon on va la faire cette fête? » dit-il en se retournant vers son ami avec un large sourire, ce dernier sourit à son tour « Allons draguer les filles, boire a en vomir!! Attentions les filles nous voilà!! » Otto ricane, voilà qu'il préfère avoir son ami de bon humeur que de mauvaise.

Crissement de pneu, d'atroces bruits de ferrailles, des cries des pleure l'entour, il ne voit rien, il ne fait qu'entendre, il ne sait même plus comment il s'est retrouvé là, étendu sur le sol face contre terre comme si la vie l'avait quitté. S'il était conscient il aurait eu ce goût amer dans la bouche, il ne sait rien, rien du tout, le lieu, le jour, la date, s'il fait nuit ou jour, s'il était saoul ou sobre. Juste des cris, des pas qui s'agitent autour de lui, cette immonde odeur d'essence et de caoutchouc brûlé. « Et vieux tient bon, les secours sont là. » puis plus rien, bercer par ce silence, il à l'impression de quitter ce bas pays mais, il n'en n'a pas envie, ils e sent trop jeune pour mourir, c'était un simple accident il n'avait pas chercher à se tuer. Il se rappelle de cette atroce douleur qui envahissait sa tête... Cela sera son seul souvenir, les feux d'une voiture l'aveuglant, cette tête qui lui laissait l'impression qu'elle allait exploser et puis plus rien.

“ L'amnésie est dans certains cas psychologique. Elle représente la meilleure fuite qui soit. On fuit, en oubliant ce qui faisait mal. ”
fin 2009
- « Te voilà dans un lit d'hôpital, te souviens de rien, tu es ce qu'on appelle un amnésique, t'en fais un beau d'amnésique va, avec ta gueule d'ange. Ton prénom te semblait étrange jusqu'à là, même si tu ne crois pas que les médecins disent que tu as eu de la chance, car tu dis c'est tout sauf de la chance de ne pas se souvenir de qui on est, mais ne t'inquiète pas ta mémoire te reviendra, estime toi heureux, que tu sais encore parler, marcher, conduire, courir, écrire et surtout respirer. Tu sais très bien qu'on ne ressort pas indemne d'une rupture d'anévrisme regarde ton pauvre oncle, il se retrouve à moitié paralysé, toi rien, juste un problème de mémoire. Alors, oui, très cher Otto, tu as de la chance, même si tes proches ne vont pas ta recherche car, ils te croient mort sans chercher le comment du pourquoi. Mais ça, ce n'est rien tu les emmerdent un peu au fond tu t'en branle, ce genre de choses te passent naturellement au-dessus de la tête car, tu ne te souviens pas d'eux. T'as juste-la photo de cette fille dans la poche de ton jean, où au dos il y a marqué le lieu Paris, France. Et d'un coup tu veux aller en France car tu te dis que c'est un signe si tu as cette photo dans ta poche, c'est pour une raison. Voilà ton nouvel objectif d'amnésique, d'aller en France rencontré cette fille, c'est peut-être idiot mais, tu as « amoureux » de cette photo. Et là tu dis que tu es fous et que tu ferais mieux de rentrer en Roumanie, soit disant ton pays d'origine. Quand tu iras là-bas, quelques souvenirs te reviendront, naturellement des gens te salueront, tu fais de même alors que tu ne te souviens pas d'eux, là tu vois tes parents qui pleurent de joie car, tu leurs est revenus, tu ne t'es pas rendu compte que cela faisait six mois que tu avais porter disparu. Tu leurs explique ce qu'il se passe, ils ne te croient pas au début alors, tu te dis que tu devais être un sacré plaisantin. Après, tu vois ton meilleur ami qui s'appelle Mihai , qui te donne une bonne droite, tu ne comprends pas pourquoi mais, il t'explique alors à ton tour tu lui expliques et là, tu te rends compte que le monde qui t'entoure est complétement faux, et qu'en vérité t'avais bien une vie merdique. On te dit que tu n'as pas changé et que que tu es surtout moins salaud qu'avant, tu dis qu'ils ont sans doute raison tu ne peux pas les contredire. Cette vie ne te plaît plus, oui cette photo t'obstines, et malgré le peu de souvenir que tu as retrouvé, tu ne veux plus rester ici, tu veux te casser et commencer une nouvelle vie. »

“ Prolonger des adieux ne vaut jamais grand-chose ; ce n'est pas la présence que l'on prolonge, mais le départ. ”

2010
- Je pars pour Paris » Mihai le regarde « Paris? Tu rigoles » Otto hoche la tête négativement, avec un léger sourire, il s'entendait à ce que ami se foute de lui « Tu sais parler français ? » comment aurait il pu apprendre le français? Il connaît simplement quelques mots et il se débrouillera avec. « Non... » Mihai essaye de rester calme, de ne pas se moquer de son ami « Et pourquoi Paris? » Otto sort la photo de cette fille « A cause de ça » Mihai se mets à rire, ce moquant ouvertement de son ami, il ne peut pas s'en empêcher « Je crois que tu perds la boule. » Otto hausse les épaules avec un large sourire « C'est la seule chose que j'avais sur moi quand on ma retrouver et le seul objectif que j'avais quand je me suis réveillé, c'est d'aller la retrouver. Je me lasse de tout ça. » tant de sérieux dans sa voix, cela ne lui ressemblait pas. « Tu es fou, Otto... Franchement fou . » Mihai se lève, il regrette que Otto n'est pas complétement changé, toujours à se lasser et vouloir connaître un nouveau monde, il sait toujours demandé comment Otto est resté si longtemps en Roumanie. Il aurait espéré que ce point là aurait disparue en Otto mais, cela n'a fait que l'empirer, ce lasser de la vie quotidienne et de vouloir toujours connaître une nouvelle aventure... Pourquoi n'a-t-il pas changé?
Il n'a pas pu s'empêcher de coller Otto à lui. Je peux pas te laisser partir comme ça. » il le serre un peu plus fort « Bordel Otto tu sais pas à quel point... » Otto se décolle et rigole « Que tu m'aimes? Oui on me l'as dit. » Mihai inflige une tape amicale sur le bras d'Otto « Tu es sur d'avoir perdu la mémoire. » le roumain hausse les épaules « En grande partie oui. » Il donne l'impression d'être toujours le même mais quelques choses de plus doux c'est installé en lui.

“ Un changement de vitesse, un changement de style. Un changement de décor, sans regret, ”
Au milieu de l'année 2010

- « Jeune homme. » se tournant vers cette voix, il n'osait pas répondre, parlant un français approximatif et assez mauvais, il valait laisse place à l'anglais ou au roumain. « t'es étranger? » il hocha la tête même s'il n'était sur de bien comprendre. « Ca te dit de devenir mannequin? » il fronce les sourcils, analyse cette phrase « Oui. » dit il simplement, il avait voulu ajouter pleins d'autre mots mais cela lui était impossible. Grâce à un simple boulot dans un Mcdo, il est devenu mannequin, ne se forgeant pas une personnalité très différente de la sienne, il était juste un moins con. espérant qu'un jour il croise la fille de la photo, la cherchant toujours et toujours, sans aucun résultat.

Phylis Hester a écrit:

Louis *o*
Oooh et en plus t'es un membre immortel, c'est trop génial ça