crédits ϟ ...moi.

Маша Екатерина Кubrickson

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Bonjour, je me nomme MASHA KUBRICKSON j'ai 21 ANS, je suis née le 27 AVRIL et je viens de LIEU.

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☞ QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT ? 4 ϟ mon lit est trop confortaaaable ! ☞ QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ? 3 ϟ mes doigts connaissent le moindre de mes repas. ☞ QUE PENSEZ-VOUS DU MANNEQUINAT ? 4 ϟ humm... ☞ QUE FAITES-VOUS DE VOTRE TEMPS LIBRE ? 3 ϟ l'intégral de star wars, vous connaissez ? ☞ JUSQU'OÙ IRIEZ-VOUS POUR DÉCROCHER UN CONTRAT ? 4 ϟ un de plus, un de moins...

NOM ϟ Kubrickson PRÉNOM(S) ϟ Masha Ekaterina AGE ϟ 21. LIEU DE NAIS. ϟ ici DATE DE NAIS. ϟ 27 avril. TAILLE ϟ 174cm. TOUR POITRINE ϟ ex 85cm. TOUR TAILLE ϟ ex 79cm. TOUR HANCHES ϟ ex 93cm. POINTURE ϟ ex 47.

mais... qui es-tu ?

Ta beauté fait pleurer mes Muses; elles en pleurent jours et nuits, elles se tuent; ta beauté leur piétine le cœur. Ta beauté nous consume tous. Je me tue, jours et nuits, à rêver d’atteindre ta sensibilité, ton âme, ta putain d’humanité. (…) Mais es-tu seulement humaine, belle Masha? Non, je suis un monstre. Un monstre insensible qui ne se soucie même pas de lui. Je suis le monstre de l'autodestruction. (…) Je ne sais plus quoi penser, tu m’as totalement envoûté. Je me suis perdu pour toi, ou du moins, à cause de toi. Je ne rêve que d’une chose, comprendre qui tu es. Mais je ne suis rien. Je ne suis pas. Je suis tout simplement pas là. Si, tu es là, avec moi, toujours là, tapie dans mon ombre, dans mes pas, dans mon âme, tout ça. Tu es là jusque dans mes rêves les plus incontrôlés. C'est sans doute que l'incontrôlable attire l'incontrôlée... Pourtant, avec toi, tout semble sous contrôle. Tout devient bizarrement maîtrisé. Jusqu'à tes plus sincères soupirs... Mmm. Dis-moi, dis-moi ce qui se cache derrière cette jeune fille au rire hystérique, aux caprices délurés, au caractère si bien trempé. Explique-moi, je te prie. Oh, go fuck yourself, dude. J'ai rien à te dire. J'ai pas envie d'une psychanalyse de si bonne heure. (…) Je ne cache rien. Absolument rien. Rien que du vide. Voilà. Je suis du vide. Du rien. Du néant. Un trop plein de rien, un trop plein de vide. De la grosse connerie en somme. Ça ne peut pas être du rien, encore moins du vide. T'es la fille la plus entière que je connaisse. C'est parce que je suis entièrement vide. Dis pas de conneries Kubrickson. Je te signale que c'est toi qui me fait chier, badmotherfucker. Je te fais vraiment chier ? Tu me déteste vraiment ? Oh, putain. Ce que t'es con quand tu te la joue petit-dandy-à-fleur-de-peau. Sérieux, arrête. Je te connais depuis trop longtemps pour que ça passe avec moi. Je sais, rien ne passe avec toi, Kubrickson. T'es la pire peste qui existe dès qu'on t'approche de trop près. Je dois être le seul que tu n'as pas encore fais fuir. Mais je ne fais fuir personne, salopard. C'est juste que je vous fuis, vous, vos conneries à deux sous, vos attentes trop exagérées, vos envies stupides et tout ça. C'est toi qui exagère, Masha. Et en quoi j'exagère, monsieur l'Artiste ? (…) En nous fuyant uniquement parce qu'on veut t'approcher. En nous offrant un monstrueux spectacle de colère et d'anxiété dès qu'on veut te plaire. En nous détestant si facilement. T'es qu'un connard, pauvre vieux. Je n'y peux rien si je me met facilement en colère. Je n'y peux rien si je ne vous aime pas. Vous n'êtes pas fait pour être aimés. Et vous vous aimez déjà trop. Regarde toi. Tu t'aimes tellement, c'en est angoissant. (…). Franchement, je ne te comprend pas. Je pensais que tu m'aimais bien, pourtant. Et pourquoi est-ce que tu aurais besoin que je t'aime ? Oh, arrête Masha. Tu sais très bien que j'ai besoin de ton amour et que toi aussi tu as besoin de l'amour des autres. Sans moi tu t'emmerderais tellement. T'es juste une ingrate, insolente, qui s'en fout des autres et qui désespère de son manque d'amour-propre autant que de son manque d'amour tout court. T'es vraiment un pauvre connard. Non. Enfin, si. Mais sois sérieuse deux secondes : tu n'as pratiquement pas d'amis. Et je m'inclus dedans, c'est dire.  J'ai ma famille, ça me suffit. Oui, je sais. La merveilleuse famille Kubrickson. Merveilleusement riche. Merveilleusement talentueuse et raffinée. Le must du must. On en fait plus des gens comme vous. Mais tu veux quoi à la fin ? T'as vraiment envie que je m'énerve ? Qu'on passe la fin du trajet à se taper dessus ? Non. Je veux que tu m'aimes. Je veux que tu l'assumes. Et je veux comprendre. Mais putain, mec, y a rien à comprendre. Si. Je veux comprendre pourquoi tu préfère vivre dans ton monde à toi. Décalée des autres. Insouciante de la réalité du monde. Je veux comprendre ce putain d'univers qui m'échappe. Ça n'a pas la moindre importance. Je sais que pour toi, rien n'a jamais d'importance. Que tout t'échappe, te dépasse, te frôle à peine. Mais ça en a pour moi. Ahah. Oui, je sais. Évite tes méchancetés habituelles. J'assume le fait de n'être qu'un pauvre type qui se construit un personnage de dandy. Je sais très bien que je ne suis pas un réel artiste. Que rien de ce que j'écris ne sera publié. Qu'aucune de mes chansons ne sera appréciée. Alors, vas-y, à ton tour. Assume-toi. Raconte moi. Mais y a rien à dire. Encore une fois... Tu la connais trop bien ma vie, on la passe ensemble. Et puis, tu ne comprendrais pas. (…). OK. (...). Alors saches que mon père m'a ouvert les yeux trop tôt. Il m'a appris que la vie est rasoir et inutile. Qu'il sera toujours trop tard ou trop tôt. Que je serais toujours déçue de tout, de tous. Il m'a appris qu'au départ on est pleins de rêves extraordinaires et puis qu'on se retrouve assis dessus. Il m'a appris qu'à un certain âge – arrivé trop tôt, quelle ironie – on se rend compte qu'on va tous y passer sans avoir trouvé les bonnes réponses. Il m'a appris qu'on prend au sérieux toutes les théories à cent litres de salive à l'heure, et, qu'en fait, c'est nos propre vies qu'ils nous servent, mais sous d'autres formes. Et surtout qu'ils nous ont jamais musclés les pattes avec des trucs cohérents sur les vraies grandes choses. Il m'a appris qu'en deux mots, la vie est courte, décevante et qu'ensuite, tu meurs. Qu'on occupe nos vies avec de la merde, comme les carrières et les relations, pour nous faire croire que tout n'est pas totalement inutile. Alors voilà, une fois que j'ai compris. J'ai tout laissé tomber. Tout laissé passer. Et maintenant, je vis, et je dis merde à la vie. Tu comprends ? (...). Le voyage va être long... Non, c'est charmant, t'as jamais été aussi sincère avec moi. D'habitude tu me fuis aussi dès que tu deviens trop sincère. C'est pas vrai, arrête de mentir ou je te coupe ta langue. Mais si, c'est vrai. On dirait que tu joues toujours un rôle. Que t'es jamais vraiment toi. Que tu nous cache toujours tout. Tu te souviens, il y a à peine un mois, notre dernière nuit ensemble ? On s'amusait follement, tu étais une joyeuse jeune fille pleine de vie, et tu t'es enfuie sur un coup de tête. Mais arrête d'exagérer, sombre connard. On dormait dans un champ. J'étais en robe trop légère et sans collants. Tu peux pas savoir comme c'est désagréable. Alors, oui. Je n'allais pas rester comme ça jusqu'à ce que mon père nous trouve. Paroles, paroles, paroles. Mais je ne joue aucun rôle. J'ai le droit d'être une jeune fille joyeuse quand même. Pas quand c'est calculé. C'est pas calculé. Je le suis tout le temps. Chaque seconde de ma vie. On m'appelle « la jeune fille à la sucette » ou encore « la jeune fille Sourire ». Tu vois bien que je suis gaie. Oui, parce qu'ils ne connaissent pas ton côté flippant. Je suis flippante, moi ? Bien sûr. Trop de charisme. Dès que tes yeux s'assombrissent. Dès que tu nous jettes un regard empreint de mépris. Dès que tu nous fait une scène. Putain. T'es chiant. Mais j'ai raison. Non. Non ? Non. Vraiment ? Vraiment. (...). J'y peux rien, j'aime être insouciante, partager mes conneries, emmener les autres à l'aventure avec moi, oublier le monde. Je suis une jeune fille insouciante et joyeuse, qu'importe ? (...). Bon, je suis colérique aussi, mais qu'importe ? Ca importe ! On dirait que tu veux le monde à tes pieds. Mais le monde va être à mes pieds. Bientôt. Prochainement. Le monde sera mien. Je séduirais le monde. Il me sera assujetti. Je vais conquérir le monde. OK, et t'en fera quoi du monde ? Rien. Je le regarderais pleurer. Et je pourrais pleurer avec lui. Oh, Mashatte... Не отпускай меня.

hum... hum... un dernier mot ?

PSEUDO ϟ désormais c'est allegra ah.
AGE ϟ vous voulez me faire déprimer?
AVATAR ϟ Ashley Smith.
TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟ concrètement ce fut : OHPUTAINUNFORUMTOUTDENOIRVETU; ensuite j'ai farfouillé au niveau du staff et je me suis dis OUAHMAISAEROPLANES'ETAITPASINSCRITSURSTH? et puis j'ai regardé les scénarii et là j'me suis dis : trucdeouf. Et après mon cerveau s'est calmé et je me suis Ok, je m'inscris. Voilà, ce fut ma première impression ahah.
AUTRE ϟ ici