Sujet: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Sam 5 Fév - 21:49
peterkenne, nina agatha
Bonjour, je me nomme
NINA PETERKENNE
j'ai
VINGT-DEUX ANS
, je suis né(e) le
21/01/1989
et je viens de
LIÈGE, BELGIQUE
.
voici la partie questionnaire, vous ne devrez laisser qu'un choix pour chaque question.
☞ QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT ?
4 ϟ
mon lit est trop confortaaaable !
☞ QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ?
1 ϟ
je suis végétarien...
☞ QUE PENSEZ-VOUS DU MANNEQUINAT ?
4 ϟ
humm...
☞ QUE FAITES-VOUS DE VOTRE TEMPS LIBRE ?
3 ϟ
l'intégral de star wars, vous connaissez ?
☞ JUSQU'OÙ IRIEZ-VOUS POUR DÉCROCHER UN CONTRAT ?
2 ϟ
moi, je paye en nature... intéressé ?
NOM ϟ
peterkenne
PRÉNOM(S) ϟ
nina agatha
AGE ϟ
vingt-deux ans
LIEU DE NAIS. ϟ
liège, belgique
DATE DE NAIS. ϟ
seize janvier .89
TAILLE ϟ
172cm.
TOUR POITRINE ϟ
83cm.
TOUR TAILLE ϟ
61cm.
TOUR HANCHES ϟ
87cm.
POINTURE ϟ
39.
mais... qui es-tu ?
Nina est hors du temps. Souriante, créative et fraiche. Personne ne l'imagine autrement que de bonne humeur. Toujours prête à se mêler de tout, à râler pour un rien, à rigoler à une remarque déplacée ou à un pique lancé à un ami - Nina c'est la légèreté feinte de quelqu'un qui a quelque chose à cacher. Ne parlant que très rarement d'elle, elle est le genre de femme à connaître tout sur tout le monde, sans pour autant que la réciproque ne soit vraie. Dans son univers, d'un naturel distraite et philosophique, elle se soucie très peu des autres. On pourrait croire que le deuil l'aurait dispensée de son égoïsme naturel, mais non. Ce n'est même pas volontaire. Indépendante et marginale, elle a tendance à oublier qu'elle n'est pas seule au monde. Pourtant, elle ne manque pas d'altruisme. Au contraire, aider quelqu'un ne la dérange absolument, sauf en cas d'une flemme extrême qui la prend de temps à autre. Impatiente et fière, elle déteste laisser entrevoir ses faiblesses, et préfère passer une véritable cinglée que pour quelqu'un qui a besoin des autres. D'autant plus que Nina est une femme qui a un don pour gérer la douleur. Autant physique que psychologique. Rien ne déborde, elle endurera la peine ou la douleur sans broncher (alors que, paradoxalement, elle a la stupide habitude de dire " aïe" à chaque fois qu'elle bute contre quelque chose), et jamais, n'ira d'elle-même annoncer à une personne de son entourage qu'il s'est passé quelque chose. Beaucoup de ses amis lui reprochent cette attitude beaucoup trop personnelle. Nina flotte au-dessus des gens, comme si rien des autres ne l'atteignait. Et comme si rien d'elle ne pouvait atteindre les autres. Ouverte et diplomate, il est étrangement facile de se lier à elle, comme si elle ne savait pas juger les autres. Pourtant, entre son regard pénétrant et ses lèvres pincées en une moue pensive un temps, et ses prunelles malicieuses et son sourire aguicheur un autre temps, il est facile de se perdre.
Spoiler:
hum... hum... un dernier mot ?
PSEUDO ϟApplestorm, Lula AGE ϟseize ans. AVATAR ϟMélanie Laurent. TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟportisheaaaad. : AUTRE ϟgif by gun-of-brixon |tumblr
Dernière édition par Nina Peterkenne le Dim 6 Fév - 19:38, édité 12 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Sam 5 Fév - 21:49
oh je vois ! et alors, c'est quoi ton histoire ?
Dogs were whistling a new tune, barking at the new moon, hoping it would come soon so that they could die
" Tu la touche, je te casse les dents. " Hugo et moi, on n'était pas très proches, avant. À vrai dire, c'était même celui de toute ma famille, cousins et cousines compris, dont j'étais le moins proche. J'ignorais pourquoi, et encore aujourd'hui, il m'arrive de me poser la question. Nous étions les deux plus âgés, nous étions ceux qui avaient pour charge de protéger le troisième, le plus jeune. Mais il y a toujours eu comme de la brume entre nous. Une brume étrange et inviolable qui nous empêchait de nous comprendre, de nous aimer comme un frère et sœur devaient s'aimer. Dans la famille, nous étions trois. Étions, car nous ne sommes plus que deux. Hugo était l'aîné, et le plus turbulent. Nos parents avaient beaucoup de mal à les contenir, lui et ses excès. Personne ne lui dictait sa conduite, à Hugo. Trois ans après sa naissance, j'arrivais. Moi, la cadette, la seule fille de la fratrie Peterkenne. La seule blonde aux yeux bleus dans une famille aux cheveux de jais et aux regards marrons. J'étais un peu le princesse de ma mère, qui désirait une fille avec tant d'ardeur. Ça m'énervait. Peut-être est-ce cela qui, au fond, a creusé ce fossé entre Hugo et moi ? Non pas la jalousie, mais le mépris. Je l'ai toujours admiré pour ça, mon frère. Pas de pied d'estale, qui que tu sois. Je me souviens l'avoir vu se faire jeter d'une salle de concert, pour avoir craché sur l'artiste qui se produisait. Lorsque, plus tard, lorsque tout s'était remis en ordre entre nous, je l'avais questionné, il avait rigolé en m'expliquant qu'il avait estimé que le chanteur qu'il avait été voir avait snobé le public toute la soirée. « Non mais pour qui il se prenait ce crétin ? Il se croit le roi du monde car il joue sur une scène et pas moi ? » s'exclamait-il. Puis, à mes cinq ans, ma mère mit au monde Timoté. Tim, pour nous. Un parfait petit garçon aux joues roses. Même Hugo, qui, à cette époque déjà, se suffisait à lui-même, esquissait des sourires attendris en le regardant. C'était souvent lui qui était le médiateur entre Hugo et moi, qui proposait que l'on joue tous les trois, qui parvenait à nous faire avoir un échange joyeux. Même si ça ne durait jamais plus d'une heure. " Tu la touche, je te casse les dents. " Je me souviendrai toujours de ce jour-là. J'avais quinze ans, Hugo en avait dix-huit. J'étais confinée chez moi, punie. Sans doute pour une quelconque bêtise idiote que pourrait faire une gamine de quinze ans. Lui, était lâché dans la nature. Comme presque tous les soirs. Mes parents avaient beau lui interdire de sortir, il trouvait toujours le moyen de s'échapper. Alors mon père lui gueulait dessus quand il rentrait, le punissait à nouveau. Et ça recommençait le soir-même. Et ainsi de suite. À force, ils ont bien finit par comprendre que ça ne servait à rien, alors ils ont arrêté de faire attention à ce qu'il devenait le soir. J'étais hors de moi. Comment mes parents avaient-ils pu me faire ça ? À moi ? Aujourd'hui ? J'ai toujours eu un côté très égoïste, c'est vrai, mais j'espérais que ma mère prenne mon parti. J'avais promis à mon meilleur ami, le mec le moins populaire du lycée, peintre à ses heures perdues, de l'accompagner à l'exposition expressionniste de l'année. Même Tim, qui savait à quel point j'avais hâte d'y aller, du haut du ses dix ans, avait tenté de persuader mes parents de me donner la permission de ce soir. En vain. Je m'étais précipitée en hurlant de rage dans ma chambre, avais claqué la porte si brutalement qu'ils avaient du croire à un tremblement de terre en Chine, et m'étais enfermée. Durant une heure et demi, j'étais restée allongée sur le dos en travers de mon matelas, en écoutant tout et n'importe quoi sur mon lecteur cd. Nina Simone, The Mamas and the Papas, Genesis, Hendrix, Bowie. J'avais ruminé, râlé, pesté contre eux. La maison était calme, et le silence n'était troublé que par ma respiration et les pas de Tim et de cher papa et chère maman. Hugo, lui, avait disparu, comme toujours. Je me suis redressée, assise sur mon lit, pieds dans le vide. Aussi bruyamment que je pouvais, à pieds nus, je suis sortie de ma chambre, longé le couloir éteint et me suis glissée dans celle d'Hugo. C'est dingue, comme ça, mais c'était la première fois que je pénétrais dans son antre. On entrait jamais dans la chambre d'Hugo. Elle était exactement telle que je l'avais imaginée - à l'opposé de la mienne. Les murs étaient blanc cassé, recouverts d'affiches sombres, presque toutes sur fond noir, un store cachait la fenêtre. Son lit, le long du mur, à côté de la porte était défait, des tonnes et des tonnes de papiers, bouquins, mégots, bics, jonchaient son bureau, juste devant moi. Des étagères étaient accrochées juste au-dessus. Son armoire, d'où dépassaient tee-shirts, jeans, et paires de chaussettes, était juste à côté de la fenêtre. Le bordel qui y régnait était tout bonnement incroyable. Mais ce que je remarquai en premier, ce fut ses deux guitares, son ampli, et le mur sur ma droite, perpendiculaire à son lit. Il y avait un ampli (qui servait en même temps de table pour cendrier et pour partitions), une guitare électrique appuyée dessus, une acoustique posée au sol. Quant au pan de mur. Des paquets de cigarettes. Il était entièrement recouvert de paquets de cigarettes vides, posés verticalement les uns sur les autres. Mes yeux s'écarquillaient d'eux-mêmes. Légèrement intimidée, je m'approchai de son bureau, commençai à fouiller sous ses affaires. Par chance, mes doigts entrèrent vite en contact avec un paquet de plastique. Ouvert. Un fond de tabac, du papier à rouler et un petit sachet à fermeture zip coincé dedans. Fermé. Dans mon soutien-gorge, faute de poche. Un jean sale, à mes pieds, un paquet de cigarettes dedans. Une suffisait, et le briquet. Coincée entre mes lèvres vierges, première inspiration. Un dernier coup d'œil autour de moi et j'allais sortir, lorsque mon regard fut capté par un flyer posé sur le matelas. Je l'attrapai. Cataclysm Box. C'était son groupe. Ce soir. Un sourire se dessina sur mon visage. Je savais où j'allais ce soir. La clope au bec, je dénichai dans sa penderie une veste en cuir, que j'enfilai par-dessus ma large tunique pastel, et des chaussettes bien trop hautes pour moi, mais que je relevai pourtant sur tout mon mollet. Ma paire de DocMartens et j'étais prête. Ce fut par sa fenêtre que je m'enfuis de chez moi pour la première fois. Il faisait déjà sombre dans la rue, j'avais du mal à voir où je mettais les pieds. Plus je m'approchai du Pot au Lait, café où Hugo devait se produire, plus le genre de personne fréquentant les rues changeait. Et plus j'avais confiance en moi. Un petit attroupement s'était formé autour de l'entrée du café, je du jouer légèrement es épaules pour me faufiler parmi la foule et passer l'entrée. " Mademoiselle ? Vous avez votre entrée ? " Merde. C'était quelque chose que je n'avais pas prévu. Un homme au crâne chauve, assis à une table haute, me regardait d'un air mauvais. " Euh, non. Mais je suis une invitée du groupe. " " Il y a cinq groupes ce soir, gamine " se moqua-t-il. Crétin. " Cataclysm Box. J'suis la sœur d'un des membres. " Il fronça les sourcils, du genre « aucun membre m'avait dit qu'il avait une sœur », si bien que je me sentis obligée de préciser. " Nina Peterkenne. Mon frère, c'est Hugo, le guitariste. " Du moins, j'espérais que c'était le guitariste, comme je l'avais plus ou moins deviné. Il baissa les yeux en maugréant sur sa liste d'invités durant deux secondes, juste le temps de vérifier. J'en profitai pour choper un bracelet sur la table et me faire la malle. À nouveau, je me frayai un passage entre les gens, quand j'entendis au loin, le mec me hurler de revenir, petite salope. Mais j'étais hors de vue. Et souriante. Avec adresse, je collai le bout adhésif du bracelet de papier sur l'autre extrémité. En lançant des regards émerveillés autour de moi, je laissai mes pieds me guider jusqu'à la scène. Appuyée sur les barrières, j'attendis que ce soit au tour d'Hugo d'entrer dans la danse. Les autres groupes défilaient devant mes yeux, j'y prêtais à peine attention. Puis enfin. Enfin. Je vis un de ses meilleurs amis, qui était souvent venu zoner chez nous, s'approcher de son instrument, sa basse. Un autre, le visage caché par de longues dreadlocks s'assit à sa batterie. Et là, Hugo. Sa guitare électrique pendant dans son dos, il alla se camper devant son micro. Je vis son regard balayer la salle. Il commença à jouer, puis à chanter. Je n'en revenais pas. Il avait la plus belle voix que j'avais jamais entendue. Grave, légèrement rocailleuse. Qui m'emportait, loin, loin, loin, à des années lumières de là, et je me laissais porter par sa mélodie. Et ses yeux tombèrent sur moi, en pleine partie instrumentale. Sur la cigarette que j'avais dans la bouche. Sur sa veste. Je fus sans doute la seule à entendre la fausse note qu'il tira de sa guitare sous la surprise, car je ne regardais que lui. Il me fixa longuement, si bien que quelques uns de mes voisins tournèrent également le regard vers moi. Il m'adressa un clin d'œil, ne me regarda plus de tout le concert. J'eus l'impression que son groupe ne resta qu'une minute sur scène, qu'à peine arrivés ils repartaient déjà. Mon regard, à nouveau, se promenait autour des enceintes, jusqu'à tomber sur une pancarte « backstage » accrochée à un haut rideau noir, qui séparait la foule des coulisses, et qui me fit décoller. Je me glissai jusqu'à elle, vérifia que personne ne me regardait. Mais, au moment où je m'apprêtai à passer la tenture, un homme plus grand que moi sortait des coulisses. Le choc m'aurait propulsée un mètre en arrière si des doigts ne m'avaient pas retenue par le poignet. Hugo me souriait, m'attira vers lui et m'entraîna vers ses amis. Je passai le reste de la soirée avec lui. C'était étrange, en temps normal, nous nous parlions à peine, avec indifférence lorsque ça arrivait. Vers trois heures du matin, sa guitare à son dos, il m'annonça qu'il fallait rentrer. La drogue que j'avais fumé ce soir-là ne m'avait fait comprendre qu'à moitié, mais je le suivis sans discuter. " J'en reviens toujours pas que tu nous aies jamais dit que tu faisais des concerts ! Maman et papa seraient sûrement super fiers. Et Tim, il serait si content de t'entendre... Tu ne voulais pas qu'on vienne te voir, au moins une fois ? Tu chantes tellement bien, en plus. Et il faut absolument que tu m'apprennes à jouer de la guitare ! Tu me le promets, hein ? " Il promit. Il m'écoutait jacasser en riant, tandis que nous traversions la salle presque vide, à présent. Je ne m'interrompis qu'en sentant une poigne brusque et énorme m'attraper par le bras. J'en criai de surprise. " Et là, une minute, petite arnaqueuse de merde ! Tu t'es bien foutu de ma gueule, hein ?! " Hugo, sans chercher à savoir qui, quoi, comment, pourquoi, referma son poing, pivota et envoya s'écraser ses phalanges en plein sur la tempe de l'autre con, qui parti en arrière et s'étala, le visage pris en sandwich entre le sol crasseux et la chaussure d'Hugo, posée sur sa joue. " Tu la touche, je te casse les dents. " Histoire de confirmer ses dire, il appuya légèrement sur sa tête. Pauvre mec. Il ne faisait que son boulot, après tout. Une fois assuré qu'il s'était bien fait comprendre, Hugo revint vers moi et, sans même s'arrêter, passa son bras autour de mes épaules et nous entraîna vers la sortie. Les cinq années qui suivirent, Hugo et moi étions inséparables. Même après nos départs respectifs de la maison familiale, nous continuions à nous voir sans arrêt. Et il tint sa promesse, il m'apprit à jouer de sa guitare. Il arrivait fréquemment qu'il vienne nous chercher, Tim et moi, et que nous partions tous les trois toute la journée à la campagne. Qu'Hugo et moi usions nos doigts sur les cordes de nos guitares, usions nos voix, jouant et chantant pour Tim uniquement. Jamais je ne remercierai assez Hugo pour cela. La passion. Il m'avait apprit la passion. À mon tour, j'exprimai vite mon désir d'être une musicienne à part entière. Ce genre de musicienne qui vit de son instrument, qui voyage, qui fait partager des choses. On aurait pu croire - et c'est au départ ce que je croyais - qu'Hugo aurait été agacé que je l'imite comme ça. Énervé de ne plus avoir « son truc à lui ». Mais au contraire, il semblait être le frère le plus heureux du monde. Jusqu'au jour où... Ce fut Tim, à seulement quinze ans, qui fut confronté le premier à cette horreur. Qui le retrouva. Pendu, une chaise renversée à côté de son lit, dans son appartement. J'entends encore son hurlement. Nous étions venus tous les deux, car cela faisait presque deux jours qu'on n'avait pas eu de ses nouvelles. Hugo n'était pas dans le salon, la cuisine. Alors Tim était allé toquer à la porte de sa chambre. J'ai accouru, criant après mon petit frère. Il tentait désespérément de détacher la corde, son dos secoué de tremblements. Je déboulai la pièce, aperçut le corps sans vie d'Hugo, suspendu dans le vide et, sans savoir comment, je me suis retrouvée à genoux. Mon cerveau semblait s'être arrêté, tout comme mon cœur. Je suppose que je n'ai pas réalisé, sur le moment, car aucune larme ne vint mouiller l'ivoire de mes joues. Le temps semblait s'être arrêté, l'oxygène semblait avoir déserté l'air, et j'avais l'impression que toute raison s'essoufflant de mon corps, je n'étais plus qu'une coquille vide. Mais par dessus tout, je ne comprenais pas pourquoi. Pourquoi, Hugo ? Pourquoi ? Pourquoi ne m'as-tu rien dit à moi ? Tim, je comprends, mais moi, Hugo ?
« Et tu tournes. Encore. Et encore. Et toujours. Comme un carrousel, comme le pollen qui tourbillonne, comme le volant d'une voiture, comme des enfants qui jouent. Comme la vie. La vie, Nin. La vie qui te ronge. Comme le temps. Le temps qui passe et refait toujours le même chemin. Et qui nous fait regretter. Tourne, Nina, tourne encore. » Et Nina tourne. Bras écartés. Sourire aux lèvres. Yeux clos. Et sa robe légère couleur prune tourne avec elle. Et la cigarette coincée entre ses doigts tourne avec elle. L'enveloppant dans la brume amère et délicieuse de l'évasion. Elle s'arrête, regarde le garçon, sourit d'un air absent et séducteur. Fait un pas en sa direction. Puis un autre. Se penche. Rigole. « Arrête, Tim. Tout ce que tu veux, c'est me manipuler pour que je pose pour toi. » Le garçon hausse les épaules, et repose son appareil photo sur ses genoux. « Si tu acceptais, j'aurais les plus beaux clichés du monde. » « Tu racontes n'importe quoi. » « Tu ne te vois pas très clairement. » Silence. « Je ne vois rien du tout. » « Ce n'est pas de ta faute, Nina. Tu le sais bien. » « Je n'ai rien vu du tout. » D'un geste, le garçon lui arrache sa cigarette. Elle ne proteste pas. Ça ne servirait à rien. L'existence a toujours eu quelque chose d'irréel, depuis ce jour-là. Faire le gamine capricieuse ne l'aidera pas à se retrouver. Un larme. Une seule. Ému, il amène son appareil photo jusqu'à son œil, cadre lentement, ajuste le zoom, appuie doucement sur le bouton. Clic. Flash. « Tu as intérêt à gagner ton concours. » Tim la prend dans ses bras. Sa grande sœur. Qui paraît si fragile et si étrangère à tout, avec son air d'enfant qui a besoin d'être rassurée. « Tout ce que tu veux. »
Ma guitare, mes clopes. Pas besoin de plus. Pas besoin de s'encombrer. Mon cœur était déjà suffisamment lourd à porter. Tout ce qui était susceptible de me rappeler qui j'étais n'était bon qu'à voler au mieux à la poubelle, au pire dans une broyeuse. Tout ce que je voulais, c'était respirer. Et ce n'était pas à Liège que j'y parviendrais. Pas avec le regard constamment triste de ma mère, pas en passant tous les jours devant l'appartement d'Hugo, pas en regardant Tim, dont les traits encore enfantins affichent une dureté qu'il n'aurait pas du avoir à seulement quinze ans. Assise sur une des chaises de métal, entourée de centaines de ses petites sœurs, mon regard ne cessait d'aller et venir sur ce qui m'entourait. Passant du tableau d'affichage des heures de départ des trains aux guichets, des guichets aux boutiques diverses, aux gens, à ma guitare. J'avais beau vivre à Liège depuis ma naissance, je n'étais encore jamais entrée dans la gare. Pour cause, nous n'avions pas assez d'argent pour prendre le train à cinq. Ni même à quatre. Ce voyage était en quelque sorte mon baptême des rails. Je comptais bien en profiter, car j'ignorais quand serait mon prochain voyage. Certainement pas de sitôt. Le regard perdu dans le vague, l'esprit ailleurs, j'étais plongée dans mes pensées. À tel point que lorsqu'un jeune garçon aux cheveux noirs et aux joues roses s'assit à mon côté, le regard braqué sur moi, je ne m'en aperçus pas. " Nin... " J'aurais reconnu cette voix entre mille, les oreilles bandées, dans un tunnel. Il était devenu le seul qui arrivait à me tirer de mes réflexions. Mes yeux se plantèrent dans ceux de mon petit frère. " Qu'est-ce que tu fais là, Tim ? " Instinctivement, machinalement, nos doigts se cherchèrent, se trouvèrent, s'entrelacèrent. " Qu'est-ce que toi, tu fais là, Nina ? " Dans ses prunelles se mêlaient l'incompréhension, le chagrin. Le goût amer de la trahison. Je me sentis honteuse. Plus il me regardait, attendant patiemment que je m'explique, plus je sentais, au contraire du rouge, le blanc me monter aux joues. Je baissai la tête, incapable de répondre. Le lien qui m'unissait à lui n'avait jamais été aussi fort que celui qui m'avait lié à Hugo durant cinq ans. Il le savait, tout comme moi. Mais il restait Tim. Mon Tim. Qui lisait en moi comme dans un livre ouvert, qui me comprenait mieux que personne. " Tu m'abandonnes. Comme il nous a abandonné, il y a quelques mois. " Ses doigts se firent plus pressants. Je ne le regardais pas, mais je savais exactement comment était son visage, et je ne pouvais me résoudre à le regarder en face. " Tu te souviens de nous, à ce moment-là ? Tu te souviens comme, tous les quatre, on était effondrés ? Je vois comme ça te fait mal. Pourquoi nous forces-tu à revivre ça ? " Mes paupières se fermèrent étroitement. Moi qui ne pleurais jamais, je sentis des larmes brulantes rouler sur mes joues. Je voulais qu'il se taise, tout en désirant ardemment qu'il ne cesse jamais de parler. J'aurais voulu continuer d'entendre sa voix jusqu'à la fin de mes jours. " Tu ne peux pas faire ça, Nina. Tu peux pas... " Les tremblements dans sa voix suppliante me firent redresser vivement le menton. Non. Je refusais qu'il pleure à cause de moi. Il avait déjà trop souffert. Deux gouttes d'eau roulaient sur son visage. Un visage résigné. Il me comprenait, comme chaque fois. J'avais parfois du mal à croire qu'il soit de cinq ans mon cadet. Il était si mature, si généreux, jamais il ne se montrait rancunier ou en colère contre quelqu'un. Je l'admirais. " Mais tu le feras quand même. " Je pris une profonde inspiration, hochai les épaules. Il détourna la tête, s'appuya contre le dossier de son siège. Seules nos mains encore liées pouvaient témoigner que nous nous connaissions. " T'es qu'une égoïste. " Trois mots qui fendirent mon cœur encore plus fort que l'aurait fait une dague. Mais il avait raison. " Je sais. Je suis désolée, Tim. " Je calai ma tête sur son épaule, la sienne sur la mienne. Et nous attendîmes comme cela durant un quart d'heure. Mes lèvres brulaient, brulaient de lui crier de partir avec moi. À nous deux, nous serions heureux. Comme s'il avait lut dans mes pensées, il secoua la tête. " Je reste. " Une voix féminine retentit par interphonie, annonçant que les passagers du train à destination de Paris devaient se rendre maintenant sur le quai d'embarquement. " C'est mon train. " Il se raidit, se redressa vivement, se retourna vers moi. " Alors c'est ça ? Tout est fini ? " Il parlait plus fort, à présent, l'air totalement déboussolé. Je me levai à mon tour, m'approchai de lui, et déposai un baiser sur son front, ma main dans ses cheveux. " Reste, je t'en supplie... " À nouveau, j'eus honte. Et mes chaussures m'intéressèrent tout à coup énormément. Ma guitare à mon dos, je tournai les talons, lui tournant en même temps le dos. " Je t'aime, Tim. " Et je me mis à avancer vers la sortie. Je le laissai là. J'ai honte de moi, mais je l'ai laissé là. Seul. Le visage ruisselant de larmes, les lèvres déformées par une grimace de chagrin. Mon cœur battait à gros coups douloureux dans ma poitrine, et j'avais l'impression qu'à part les sanglots de Tim, c'était la seule et unique chose que j'entendais encore. Tout allait au ralentis. " Tu peux pas faire ça, Nin ! " Je l'entendais hurler, désespéré. " T'es qu'une sale égoïste ! Comme Hugo ! Vous êtes que deux pauvres égoïstes... " Tim tomba à genoux, mais je ne le vis pas. C'était sans doute mieux, car dans le cas contraire, ma volonté se serait effritée, j'aurais couru vers lui, l'aurais pris dans mes bras. Mon petit frère avait toujours été mon point faible. Quelques minutes plus tard, j'étais assise dans mon train. À côté de la fenêtre, à gauche - la même place que j'occupais dans la voiture. La porte se referma. Tout comme mon destin. Le destin de Nina Peterkenne, jeune fille joyeuse et fleurie. Son fabuleux destin.
Dernière édition par Nina Peterkenne le Dim 6 Fév - 22:14, édité 13 fois
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Sam 5 Fév - 21:50
Mélanie Je l'adore depuis que j'ai vu " je vais bien ne t'en fais pas " Bienvenue!
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Sam 5 Fév - 22:00
BIENVENUE, mélanie je l'aime !
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Sam 5 Fév - 22:07
cette actrice elle est belle et cet avatar est divin bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Sam 5 Fév - 22:11
Merci vous trois ! J'avoue qu'elle est vraiment magnifique, et puis l'avatar est sublime .
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Sam 5 Fév - 22:26
Bienvenue ♥
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 0:23
phoenix ϟ love like a sunset radiohead ϟ backdrifts massive attack ϟ man next door kasabian ϟ shoot the runner saez ϟ regarder les filles pleurer deadmau5 ϟ ghosts and stuff the bloody beetroots ϟ public ennemy son lux ϟ break lykke li ϟ i'm good, i'm gone ladytron ϟ ghost pixies ϟ where is my mind pete yorn lose you the dandy warhols ϟ mohammed ellie goulding ϟ this love regina spektor ϟ hero saez ϟ putain vous m'aurez plus
Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 0:29
mélanie c'est genre l'un des rares espoirs du cinéma français, j'espère qu'elle suivra une aussi belle carrière à l'instar de marion cotillard ou clémence poesy. Enfin du moins, c'est vachement bien parti, elle est formidable de plus, tu as un très très beau pseudo, et l'avatar de misery angel, je me souviens que j'avais juste bavé comme un dingue dessus quand elle l'avait posté bienvenue parmi nous donc
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 0:31
Bienvenue ici. Au plaisir de te lire.
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 1:11
Merci .
Medhi Beauregard a écrit:
mélanie c'est genre l'un des rares espoirs du cinéma français, j'espère qu'elle suivra une aussi belle carrière à l'instar de marion cotillard ou clémence poesy. Enfin du moins, c'est vachement bien parti, elle est formidable de plus, tu as un très très beau pseudo, et l'avatar de misery angel, je me souviens que j'avais juste bavé comme un dingue dessus quand elle l'avait posté bienvenue parmi nous donc
Waw, quelle façon de souhaiter la bienvenue Je te ferais bien un pavé pour te dire merci, mais je suis claquée, et d'ailleurs, l'avatar est d'AEROPLANE (aucun rapport, pas grave). Medhi (bordelou, ce que j'aime ce prénom, et ce que j'aime Francisco ), je m'demandais. Tu connais le groupe Hollywood Porn stars ? :suspect:
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 14:45
bon d'abord euh merci pour le prénom, j'ai toujours voulu appeler un de mes personnages ainsi et puis voilà. et j'aime beaucoup bavarder écoute, c'est important d'engager la conversation au premier contact tu vois, c'pour voir si y'a le feeling. et puis avec la bourde ignoble que j'ai fais, y'a de quoi blablater pendant des jours donc je reprends : OH, TU AS UN AVATAR QUI ME RAPPELLE CELUI DE MISERY ANGEL. euh... hollywood porn stars? c'est une proposition indécente que tu me fais là ou c'est réellement un groupe? je ne connais pas, mais je t'invite à me faire écouter une chanson d'eux histoire de m'initier.
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 14:49
hollywood porn stars je les ai vus que je n'avais encore que quinze ans bref, je n'avais même pas vu que tu étais Applestorm (encore une putain de bonne créatrice ! ), on s'est rencontrées sur MCR
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 15:35
Medhi Beauregard a écrit:
bon d'abord euh merci pour le prénom, j'ai toujours voulu appeler un de mes personnages ainsi et puis voilà. et j'aime beaucoup bavarder écoute, c'est important d'engager la conversation au premier contact tu vois, c'pour voir si y'a le feeling. et puis avec la bourde ignoble que j'ai fais, y'a de quoi blablater pendant des jours donc je reprends : OH, TU AS UN AVATAR QUI ME RAPPELLE CELUI DE MISERY ANGEL. euh... hollywood porn stars? c'est une proposition indécente que tu me fais là ou c'est réellement un groupe? je ne connais pas, mais je t'invite à me faire écouter une chanson d'eux histoire de m'initier.
surtout que l'avatar est quand même un avatar de ton co-admin T'aimerais bien, hein. (j'aime le code de ce smiley ) non c'est parce qu'en fait, je connaissais un Thimoté de mon âge qui vit dans le sud avec qui je rplayais y'a quelques années, et qui connaissait Hollywood Porn Stars (ça m'avait marquée parce que c'est un groupe purement liégeois, so). Sauf que j'ai perdu contact avec lui, et je me demandais si c'était toi, mais j'ai confondu apparemment x)
ZADIIIIIIIIIIIG, TU AS VU HPS ? JE T'AAAAAAAAIME j'ai du les voir une bonne centaine de fois, c'est un de mes groupes préférés ! MCR ? Tu étais qui ?
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 15:50
je les ai vus plusieurs fois, mais la première fois je m'en souviendrai toute ma vie j'étais Bowie avec JGL
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 15:52
La première fois que je les ai vu, c'était au Hangar, pareil, je m'en souviendrai toujours aaaah mais oui, celle qui bosse aux Get Down
phoenix ϟ love like a sunset radiohead ϟ backdrifts massive attack ϟ man next door kasabian ϟ shoot the runner saez ϟ regarder les filles pleurer deadmau5 ϟ ghosts and stuff the bloody beetroots ϟ public ennemy son lux ϟ break lykke li ϟ i'm good, i'm gone ladytron ϟ ghost pixies ϟ where is my mind pete yorn lose you the dandy warhols ϟ mohammed ellie goulding ϟ this love regina spektor ϟ hero saez ϟ putain vous m'aurez plus
Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 15:53
et bien effectivement ça fait beaucoup de coïncidence, ça aurait pu mais non ce n'est pas moi quoi que peut-être ou peut-être pas. peut-être que c'est moi mais que je te le cache par sécurité. telle est la question, je pourrais te rendre chèvre encore longtemps héhé.
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 15:55
et oui tout juste
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 16:00
Medhi Beauregard a écrit:
et bien effectivement ça fait beaucoup de coïncidence, ça aurait pu mais non ce n'est pas moi quoi que peut-être ou peut-être pas. peut-être que c'est moi mais que je te le cache par sécurité. telle est la question, je pourrais te rendre chèvre encore longtemps héhé.
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 16:13
ahbahd'accordsic'estcommeçaeuh.
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 16:18
COPAIN
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 17:34
Nina Peterkenne a écrit:
Medhi Beauregard a écrit:
bon d'abord euh merci pour le prénom, j'ai toujours voulu appeler un de mes personnages ainsi et puis voilà. et j'aime beaucoup bavarder écoute, c'est important d'engager la conversation au premier contact tu vois, c'pour voir si y'a le feeling. et puis avec la bourde ignoble que j'ai fais, y'a de quoi blablater pendant des jours donc je reprends : OH, TU AS UN AVATAR QUI ME RAPPELLE CELUI DE MISERY ANGEL. euh... hollywood porn stars? c'est une proposition indécente que tu me fais là ou c'est réellement un groupe? je ne connais pas, mais je t'invite à me faire écouter une chanson d'eux histoire de m'initier.
surtout que l'avatar est quand même un avatar de ton co-admin
Shame on you guy.
APPLESTORM Tu t'es inscrite finalement Bienvenue ici
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 19:40
J'ÉTAIS ATTENDUE, DIS DONC hrum. J'ai terminé.
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 19:46
Je suis amoureuse de Melanie. Mais je crois que je vais l'être encore plus de Nina. J'ai lu quelques lignes de ta fiche (parce que elle est plutôt .. complète ), j'aime. Bienvenue, créatrice aux doigts de fée
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Sujet: Re: nina ◮ beauté empoisonnée, quel sort m'as-tu jeté ? Dim 6 Fév - 19:49
ta fiche a l'air délicieuse d'après le peu que j'en ai lu, quelqu'un ne va pas tarder à passer la lire (moi, donc ) et tu recevras la visite d'un directeur dans peu de temps.