crédits ϟ arsenic

tapin ambre sixtine

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Bonjour, je me nomme

Ambre Sixtine Tapin

j'ai

vint-deux ans

, je suis né(e) le

27 novembre 1988

et je viens de

Limerick

.

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☞ QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT ? 2 ϟ je mange ! bah quoi, il faut bien se nourrir ! ☞ QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ? 3 ϟ mes doigts connaissent le moindre de mes repas. ☞ QUE PENSEZ-VOUS DU MANNEQUINAT ? 3 ϟ moi du moment que j'ai du fric, vous savez... ☞ QUE FAITES-VOUS DE VOTRE TEMPS LIBRE ? 1 ϟ je file en boîte ! ☞ JUSQU'OÙ IRIEZ-VOUS POUR DÉCROCHER UN CONTRAT ? 1 ϟ il me reste bien deux trois euros en poche...

NOM ϟ Tapin, ça ne s'invente pas ... PRÉNOM(S) ϟ Ambre Sixtine AGE ϟ 22 ans LIEU DE NAIS. ϟ Limeric, Irlande DATE DE NAIS. ϟ 27 novembre 1988 TAILLE ϟ 177 cm TOUR POITRINE ϟ 77 cm TOUR TAILLE ϟ 61 cm TOUR HANCHES ϟ 89 cm POINTURE ϟ 37

mais... qui es-tu ?

Ambre est totalement incontrôlable. La première explication est sa malchance incroyable, bon nombre de personnes la prenant pour une belle menteuse lorsqu'elle partage ses mésaventures. Trébucher pendant le défilé, se faire arroser par une bagnole qui roule dans une flaque d’eau, être la victime d'un voleur de sac à mains, recevoir un pot de fleur en plastique sur la tête, assister à l'explosion d'un bus, arriver en retard à un shooting parce qu'un flic l'a confondue avec une criminelle activement recherchée. Etre le témoin du débarquement des martiens ne la surprendrait même plus. La seconde raison sont les conneries qu’elle accomplit régulièrement de manière volontaire. Elle aime tout ce qui est dangereux, ce qui la place souvent dans des situations périlleuses . Se barrer d’un taxi sans payer, insulter un type taillé comme une armoire à glace, sauter en parachute, slalomer entre les voitures à deux cents kilomètres heure avec sa belle moto. Son espérance de vie est certainement bien inférieure à la moyenne de la population française. Peut-être pas irlandaise, ceci dit … On a d'ailleurs pris pour habitude de la surnommer ainsi, « l’irlandaise », ce qui signifie en d’autres termes « la cinglée ». A ajouter qu’elle a un sérieux problème avec l’alcool, et fume comme un pompier, ce qui n’arrange pas forcément les choses. C’est toujours son caractère joyeux et sa capacité à décrisper les gens qui sauve ses fesses. De toute façon, il lui suffit de balancer son nom de famille pour s'attirer la sympathie des gens. Sérieusement, comment résister au sourire d’une jolie donzelle, à une petite blague lancée avec légèreté ? Parce qu’Ambre est adorable, c’est le genre d’amie exceptionnelle qui vient vous apporter un chocolat chaud de chez Strarbucks pour vous remonter le moral, c’est le genre de mannequin qui écoute attentivement les instructions et qui les respecte toujours –lorsqu’elle le peut-, c’est le genre d’amante qui vous dira « tu veux qu’on réessaie ? » avant de vous exclure définitivement de sa liste de bons coups. Elle est d’une nature facile et ne contrarie jamais personne, du moins jamais de façon délibérée. C’est la sale gosse à l’air innocent, et qui est si gentille qu’au final, on lui pardonne toujours ses excès et ses dérapages. Elle n’est pas bien méchante, juste un peu décalée et déjantée. Un peu garçon manqué sur les bords, la vulgarité, les blagues salaces et le cuir ne la rebutent pas. Elle s’en accommode parfaitement, elle-même se laissant parfois aller à quelques « putain de merde » ici ou là, sans que cela ne devienne une règle générale. Toutes ces folies pourraient encore passer, mais ce qui fait péter une durite à un tas d’individus dans son boulot, c’est qu’elle est désespérément gourmande. Même niveau qu’une boulimique, sauf qu’elle ne va pas se foutre trois doigts dans la bouche juste après. Toujours en train de grignoter, elle ne peut s’empêcher de déguster une tartine de Nutella à quatre heures pétante, et de commander deux menus maxi best of chaque fois qu’elle passe la porte d’un McDo. Cependant si certains frôlent la crise cardiaque, elle ne risque pour l’instant pas grand-chose puisque le sport qu’elle pratique à côté semble réduire à néant toutes les calories qu’elle ingurgite. Du Krav Maga, pour ceux que ça intéresse. Pas de quoi en faire un fromage, elle a juste deux ou trois bleus sur les jambes qu’il faut dissimuler, parfois une trace d’étranglement autour du cou… Mais merde, le sport c’est important quoi ! A noter enfin qu’elle ne peut s’empêcher de dévisager les hommes, même dans les moments les plus improbables, et les trouve presque tous à son goût. Autant dire qu’elle n’est pas bien difficile en la matière.

oh je vois ! et alors, c'est quoi ton histoire ?

Septembre 2008
Limerick, Irlande
Dans l'après-midi

« S’il te plaît Six’, je t’en supplie. Tu es mon dernier espoir ! » Ces yeux suppliants, cette moue attristée. « Tu n’as qu’à demander à Isa’, elle sera heureuse de défiler pour toi ma chérie. » « Mais enfin, une baleine est mieux roulée qu’Isa’, toi tu es parfaite. Parfaite je te dis ! » Ces compliments, ces paroles qu’elle ne cessait de prononcer et qu’elle savait flatteuses. « Rooooh. Bon, d’accord. Mais juste pour une fois alors. » Elle avait eu raison de moi, comme toujours. Trisha savait comment me demander un service, elle savait pertinemment que je ne pouvais rien lui refuser, elle savait que malgré mes protestations, je finirai par accepter. Voilà comment je me retrouvais boudinée dans une jupe longue style bonne sœur, et un petit gilet en laine que je n’aurais pas même offert à une grand-mère détestée, les cheveux collés par le gel. Je ne connaissais rien à la mode, c’était clair et net, mais quand même, il y avait des limites non ? Je posai un pied devant l’autre un peu maladroitement, coincée dans des chaussures à talons auxquelles je n’avais pas eu le temps de m’habituer, jouant les mannequins pour une amie dans le besoin. Des dizaines d’yeux étaient braqués sur moi, et je n’avais qu’une envie, leur demander si sérieusement, je n’étais pas totalement ridicule dans cet accoutrement. J’avais envie de leur crier à quel point ils avaient un goût de chiotte pour pousser des « oh » et des « ah » en me voyant défiler sur cette scène improvisée. C’était la journée des jeunes talents, un concours dédiés aux stylistes les plus talentueux, dont mon amie Trisha faisait partie. Aujourd’hui, elle présentait une collection mamie printemps, et j’étais l’un de ses cobayes, à mon plus grand désespoir. Des flashes m’aveuglèrent, me faisant regretter d’avoir cédé. Ne manquait plus qu’on immortalise ce moment d’humiliation. Les secondes me parurent des heures, lorsqu’enfin je me retrouvai en coulisse. Mon dernier passage était achevé, j’étais de nouveau libre de me vêtir comme bon me semblait, avec un pull à capuche, un jean, et des Vans nouvellement achetée. « On se rejoint après les résultats Trish’, de toute façon je sais que tu vas gagner. » « Hm. » Trop occupée à regarder ses poules défiler, elle avait à peine entendu mon rendez-vous. Un sourire flotta sur mon visage, puis je m’éloignai en direction de la sortie. J’allais désormais faire partie du public, me fondre dans la masse. Quoiqu’il faudrait peut-être défaire cette choucroute que j’avais sur la tête avant tout chose. Cependant je n’eus pas le temps de faire plus d’une dizaine de pas dans l’assistance qu’un homme m’aborda. « Bonjour Mademoiselle, je m’appelle Frank De Magenta. » Un frenchy, sans aucun doute. « Je travaille avec l’agence {XX} et je trouve que vous avez un talent certain pour défiler. » Je ne pus réprimer un rire qui sembla le vexer. « Excusez-moi mais … c’est une blague ? » « Pas du tout mademoiselle. Je vous propose de vous envoler pour Paris, de vous faire un nom, un paquet d’argent, de voyager dans de nombreux pays et de vous faire admirer. Prenez ma carte, si vous êtes intéressée rappelez-moi ». Waouh. Ca c’était dit. Présentée comme ça, la proposition méritait d’être étudiée, n’est-ce pas ? Ce chasseur de têtes était plutôt doué, et plutôt mignon. Enfin passons, ce n’était pas là le problème. J’avais dix-neuf ans, bientôt vingt, et bossais comme guide touristique à Londres l’été, et comme barmaid à Limerick l’hiver. Pas de quoi s’en vanter, et surtout à peine de quoi faire vivre ma petite sœur qui avait de l’ambition, désirait faire de grandes études. Pour elle, je pouvais bien faire ça. Et puis, cette histoire de gloire et d’argent m’intriguait. Pourquoi pas ? Ce fut donc sur cette réflexion à peine réfléchie que je m’embarquais pour l’aventure du mannequinat, n’ayant aucune idée de tout ce que cela impliquait ou représentait. Des regrets ? Absolument pas.

Janvier 2011
Dans les rues de Paris, France
10h25

Soixante-dix … Quatre-vingt … Cent … C’était une bonne moyenne. Je stabilisai ma moto, slalomant entre les deux voies afin d’éviter les conducteurs respectueux de la limitation. La visière baissée, il m’arrivait de fermer les yeux quelques secondes, afin de profiter pleinement de la vitesse. De cette sensation de toute puissance qui s’emparait de moi chaque fois que je perdais le contrôle. Je pouvais sentir le vent même à travers l’uniforme de cuir qui me seyait si bien, la force de cet élément qui me faisait frémir sur mon engin, alors que je l’abhorrais tant lorsque j’étais à pied. S’insinuant dans mes cheveux pour les désordonner, fouettant mon visage qui se crispait, hérissant les poils de mon corps. Le vent était détestable. Mais le braver ainsi, à cent kilomètres heure, c’était une toute autre paire de manches. J’éprouvais une espèce de victoire idiote à le fendre avec tant de rapidité, j’étais plus forte que lui. Et surtout, la chose serait bien moins excitante en son absence. Car il était le témoin de la vitesse, plus son poids se faisait pesant, plus l’aguille du compteur s’affolait. Une voiture se rabattit sur la voie de gauche, m’obligeant à ralentir avec un petit grognement de protestation et un « connard de parisien » discrètement murmuré. De toute façon, les chances qu’il m’entende étaient de l’ordre de zéro, à moins que le conducteur ne soit en réalité Clark Kent. Cette pensée me retira un sourire amusé. Je l’imaginais déjà assis avec une ignoble chemise à carreaux et une coupe de cheveux playmobil. Cependant la chose me paraissait peu probable, superman ne conduisait que des tracteurs. Mes appels de phare furent vains, le crétin décidait obstinément de rester sur la voie de gauche alors qu’aucun véhicule ne se trouvait sur sa droite. Ma solution fut rapidement trouvée, j’allais le doubler par ce côté interdit par la loi, situation d'urgence l'exigeant. J’accélérai en me déportant, moment que choisit précisément le chauffard pour se rabattre devant moi. Cette fois je hurlai dans le vide, levant le bras en signe de protestation. Mais qu’est-ce qui lui prenait à cet imbécile ? Ce petit jeu dura près de quinze minutes, le mystérieux parisien décidant de me pourrir la vie. Les deux voies se rétrécirent en une seule, et la vitesse fut bientôt limitée à trente pour travaux. Ce fut dans cette rue que Monsieur le connard se gara, j’en profitai évidemment pour stopper ma moto. J’en descendis rapidement, retirant mon casque afin de faire tomber une cascade de cheveux blonds qui rebondirent sur mes fines épaules. Un homme s’agrippa à la portière pour s’extirper du véhicule, louchant dans ma direction comme si j’étais un alien, visiblement surpris de constater que le motard qu’il avait emmerdé était une femme. « Soulagé peut-être ? Ne va pas croire que je suis moins menaçante qu’un gros ours barbu. Je te botte le cul en trois secondes si l’envie m’en prend. » Les yeux plissés, je m’efforçais de paraître aussi effrayante et hostile que possible, une tentative qui fut un échec humiliant. Le jeune homme se contenta de me rire au nez comme si je venais de lui affirmer que j’étais la reine d’Angleterre. J’ignorais s’il se moquait de mon petit accent –ce qui m’arrivait régulièrement- ou de mes paroles, mais dans les deux cas ce n’était guère flatteur. Je levai les yeux au ciel, ma langue glissant sur ma canine droite. « C’est ça, marre-toi. En attendant c’était complètement stupide ton petit cinéma sur la route. Et particulièrement dangereux ! » « Ah parce que rouler à cent kilomètres heure sur une route limitée à soixante-dix, ce n’est pas un comportement que vous qualifieriez de dangereux ? » L’homme avait une voix. Et il utilisait la deuxième personne du pluriel, comme pour me faire sentir que le tutoiement n’était pas approprié. C’était un réflexe avec les cons, pour sembler agressif il fallait tutoyer. Je ne pus néanmoins que constater qu’il marquait un point. J’avais été tout aussi nuisible pour les utilisateurs de la route que lui, sinon plus. Mais reconnaître que j’avais tort, ce n’était pas une option envisageable. Ou en tout cas, pas sans souligner que lui non plus n’avait pas agi comme il l’aurait dû. « On ne répond pas à la stupidité par la stupidité. » « C’est quoi, votre numéro ? » Sa question, posée avec autant de calme que s’il me demandait la direction de la tour Eiffel, me prit par surprise, suscitant ma frustration et ma colère. Merde, j’étais en train de l’engueuler, et ce tocard me demandait mon numéro de téléphone ?! « C’est la meilleure … 2 88 11 99 136 875 22, tu pourras te faire rembourser tes petites pilules bleues. » Il avait sans doute compris qu'il s'agissait de mon numéro de sécurité sociale. Je tournai les talons pour mettre un terme à la conversation, posant mon casque sur la scelle de ma moto afin de rentrer ma chevelure à l’intérieur. Néanmoins le costard-cravate ne semblait pas avoir terminé. D’un geste bref il m’attrapa le poignet. « Attendez … » Mais il n’eut pas le loisir d’ajouter un mot de plus. Je lui servis un enchaînement précis afin de l’immobiliser, la tête collée à la vitre de sa voiture de luxe, et le bras dans le dos. « Trois secondes. » Un soupir au creux de son oreille, à la suite duquel je le relâchai. Non sans un sourire victorieux, je grimpai sur ma moto et lui faussai compagnie. Pourquoi diable tous les hommes pourvus d’un cul parfait étaient de parfaits abrutis ?

Janvier 2011
Dans un immeuble de Paris, France
14h10

« S’il te plaît Ambre, on dirait que tu es constipée là. Va faire un tour aux toilettes et reviens devant l’objectif si ça ne va pas, mais fais quelque chose ! » Je foudroyai l’auteur de cette réflexion du regard, mon état d’esprit se faisant clairement ressentir. Si l’animosité pouvait être entendue, quelque chose comme « va te faire foutre » aurait retenti dans la pièce. J’étais fatiguée, me remettant à peine d’une bronchite aggravée à laquelle j’avais failli succomber. Bon, j’exagérais peut-être un peu, mais dix jours clouée au lit, ça ne faisait rire personne. Le directeur avait insisté pour que je reprenne le boulot, mais je ne m’en sentais pas capable. La séance avait déjà mal débutée par un retard que j’avais justifié par un pneu crevé que le photographe Gilles n’avait pas gobé. Pourtant, c’était la vérité. Ce taff était vraiment dur, parfois. Epuisant, on nous demandait constamment d’être les meilleurs. Et si l’on faiblissait, on trouvait rapidement une remplaçante. C’était un peu la loi de la jungle, le même milieu sans doute que les danseuses étoiles qui enfonçaient des clous dans les pointes de leurs adversaires pour les éliminer. Le mannequinat possédait également son lot de fourbes jeunes femmes, mais ce n’était pas toujours ainsi. Finalement, le plus dur était de supporter les remontrances des photographes. Quelques flashes supplémentaires surgirent de nulle part. « On fait une pause. » C’est ça, faisons une pause. J’enfilai un peignoir par-dessus le maillot de bain échancré désigné pour la séance, prenant le couloir afin de me rendre sur le petit balcon histoire de fumer une clope ou deux. Glissant ma main droite à l’intérieur de la poche du peignoir, j’en sortis une cigarette que je glissai entre mes lèvres. Cependant je n’eus pas le temps de l’allumer, interrompue par un vacarme dans le couloir. Je passai la tête à travers la porte, découvrant un garçon, les écouteurs glissés dans les oreilles, se dirigeant nonchalamment vers l’endroit où le shooting avait lieu. « Qui es-tu ? » Mon interrogation sembla le surprendre. Il est vrai que j’aurais aisément pu déduire de son corps svelte qu’il était mannequin. « Je suis juste l’homme à tout faire de l’immeuble, j’erre dans les couloirs, histoire de mater les jolies jeunes filles qui se font photographier. » Un sourire franc vint éclairer ma mine renfrognée, mes sourcils se haussant l’air de dire « oui oui bien sûr, et la marmotte elle met le chocolat dans l’papier d’alu. » « Et toi ? » Je soufflai en affichant une moue indécise. « Oh moi ? J’allais juste me faire transpirer au hammam. Quoique j’hésite encore avec les bains bouillonnants … » Après quoi nous nous dirigeâmes vers le photographe, de bien meilleure humeur. Détendue comme cela n’était pas permis, je savais que désormais tout allait bien se terminer pour moi. Et je ne me trompais pas, les foudres de Gilles semblant trouver en ce nouvel arrivant bien plus en retard que moi un pic de métal très attractif. Le reste de la séance, je n’entendis que des compliments à mon égard, et des reproches pour mon partenaire. La fatigue s’envola vite et je me dis que finalement, cela en valait la peine, la plupart du temps.

hum... hum... un dernier mot ?

PSEUDO ϟ //
AGE ϟ 22 ans
AVATAR ϟ Skye Stracke
TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟ Quelque chose dans ce goût là ^^
AUTRE ϟ Si y'a un code, j'l'ai pas vu #sbaff#