crédits ϟ Photobucket

De Matteo Gabriel Alexandre

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Bonjour, je me nomme

Gabriel Alexandre De Matteo

j'ai

21 Ans et toutes mes dents

, je suis né

un beau matin de printemps, le douze Mai 1989

et je viens de

Sienne, en Italie

.

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voici la partie questionnaire, vous ne devrez laisser qu'un choix pour chaque question. ☞ QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT? 3 ϟ je soulage mes besoins naturels. ☞ QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ? 3 ϟ mes doigts connaissent le moindre de mes repas. ☞ QUE PENSEZ-VOUS DU MANNEQUINAT ? 2 ϟ la chance de ma vie! ☞ QUE FAITES-VOUS DE VOTRE TEMPS LIBRE ? 1 ϟ je file en boîte ! ☞ JUSQU'OÙ IRIEZ-VOUS POUR DÉCROCHER UN CONTRAT ? 2 ϟ moi, je paye en nature... intéressé ?

NOM ϟ De Matteo PRÉNOM(S) ϟ Gabriel Alexandre AGE ϟ 21 Ans LIEU DE NAIS. ϟ Sienne en Italie. DATE DE NAIS. ϟ Le 12 Mai 1989. TAILLE ϟ 1m86 TOUR POITRINE ϟ 83cm. TOUR TAILLE ϟ 79cm. TOUR HANCHES ϟ 92cm. POINTURE ϟ 44

mais... qui es-tu ?

Qui suis-je? Humm...Très bonne question mon mignon. Je ne suis qu'un simple être humain qui parcourt cette terre. Enfin "simple", je n'irais pas jusque là. Je n'ai pas pour principe de me vanter haut et fort. Vois-tu je fais cela avec classe, et élégance. J'essaye au mieux de rester un éternel mystère aux yeux des autres, et des perpétuels fauteurs de trouble. Le monde de la mode, est un univers sournois, dans lequel j'ai appris que chaque être humains qui serpente les hauts Podium sont bornés de scrupules aussi redoutables et lugubres. Vois-tu pourquoi je suis prêt à obtenir n'importe quoi, et à n'importe quel prix? Rusé, égoïste, et arrogant ces défauts me rongent de l'intérieur. Ce goût amer de la victoire et de la gloire, qui n'a aucun sens pour moi à l'heure actuelle, me terrifie. Aussi sinistre que des drogues illicites, où des parties de jambes en l'air sans fondement, ma perfidie me rends hystérique. Je ne suis pas habitué à ce côté machiavélique, et croyez moi cela me déplaît fortement. Mon physique est une apparence mensongère et hypocrite. Mais hélas, il est bien plus vertueux et innocent que mon âme. Toutefois, je suis une personne réfléchie. Je me perds facilement dans les nombreux dédales de mes pensées. Il m'arrive de trop rêvasser, et de vouloir, bien plus que désirer, des choses qui me sont interdites. Vivre dans une société moderne, ou l'argent coule à flot, n'a guère été une inquiétude majeure pour moi. De plus, je m'étais toujours honoré de pas être tombé dans des clichés aussi grotesques que nature. Malheureusement aujourd'hui, je me suis découvert, divers péchés auxquels je ne soupçonnait guère. Mon ambition éternelle pour des soirées délurées ou l'alcool prétend être mon amie ainsi que, mon excellente manipulation dans les intuitions humaines. Je suis un démon en personne. Un génie parfait, qui excède dans l'art des adulations. Fausses et sans équivoque, je suis un parfait imposteur dans les sentiments humains. Pourtant, il m'arrive d'être séduit. Alors qui-suis je réellement dans ces consciences amoureuses? Un "Arnacoeur" sans pudeur, un modeste "Machistador" sans peur, où un simple homme craintif des sentiments amoureux? Je suis un mélange de tout ceci. Mon cœur est un gouffre sans fin qui ne cesse d'être tout aussi compliqué que ma vie actuelle. Je ne m'adule guère, bien au contraire, mon narcissisme reste secret. Enfant prestige ou non, je n'ai nulle soucis avec ma sexualité. Je n'accorde d'importance à tout ce qui est beau et rare à mes yeux. La mode est sans doute un véritable "phénomène sexuel ", et le côté folâtre de mon caractère à du s'exprimer grandement. Seulement voilà, je suis un téméraire exubérant, qui ne se cache point, et qui s'estime extraordinairement parfait. Que vous ayez l'impression de me connaître où non, je m'en contre fiche royalement. Je suis un noble vantard, plongé dans une sagesse inouïe qui vous fera oublier tous vos soucis quotidiens, si vous osez m'adresser la parole. Attention! Je mords lorsque cela est nécessaire. En conclusion finale, je suis un parfait mystère pour moi même, plongé dans une incertitude constante. Mais j'apprécie avec amour et intelligence ma personne. Perspicace sans être ennuyeux, et tout aussi audacieux sans le vouloir, je suis un plaisir pour vos yeux et ainsi que pour vos oreilles. Je suis une drogue qu'il faut être contraint à utiliser sans modération et avec une légère accoutumance notoire.

oh je vois ! et alors, c'est quoi ton histoire ?

ϟOn ne choisit jamais sa famille. Encore moins son destin.ϟ

Je fumais. Oui la douce sensation de nicotine qui se propageait au fils des secondes dans mon corps me détendait. J'étais cruellement désœuvré. Mon regard se perdait vaguement sur les nombreux passant qui traversaient l'allée. La tête appuyée contre le rebord de ma fenêtre, je contemplais d'un air songeur cette vue d'ensemble. Je m'étonnais de rêvasser autant. Mon imagination était par moment si gratifiante. Elle me permettait d'oublier les soucis quotidiens de mon existence. Ces problèmes qui me bouffaient entièrement ma joie ainsi que mon état d'âme, se matérialisaient sous une seule personne. Ma propre mère. Je la détestais, mais je l'adulais au plus profond de moi. Aussi belle qu'une poupée de porcelaine, ma mère était volage, et les principes de la vie actuelle, ne l'empêchait guère d'offrir son corps à n'importe qui. Du moins, aux hommes qui lui semblait sauvages et sensuellement attractifs. Conçu dans une chambre d'hôtel luxueuse, ma mère avait pris plaisir à me raconter avec ferveur que mon père était tout aussi sublime que ces mannequins faussement professionnels qui défilaient. Voilà que je me remettais sans cesse à ressasser le passé. J'étais en colère. Oui la fureur qui me gagnais n'avait aucun sens, pourtant elle continuait de se propager dans mon cœur. Après avoir consommer sans modération de la nicotine, je m'affairais comme un affamé à la cuisine, en quête d'une sucrerie. Hélas, à mon grand malheur il n'y avait rien. Ma mère avait sans aucun doute oublié de remplir le réfrigérateur. Elle c'était plutôt sagement occupé de l'anatomie de son nouveau petit-ami. J'étais aussi nauséeux que vous, à la simple imagination de ma mère en train de grimper sur un parfait imbécile aussi jeune que moi. Pourtant il n'y avait rien de mensonger là dessus, simplement un scandale qui allait encore rester secret. Refermant la porte du frigo, aussi fort qu'une brute sans épée, j'allais finalement me décider tout en boudant et en murmurant des injures peu cohérentes, m'empiffrer d'une quelconque sucreries dans les ruelles de la plus belle Capitale du monde. « Paris. » Oh! Ma mère avait réussis avec une insistance phénoménal, et une patience peu commune à m'amener ici. Ma douce Italie me manquait. La gentillesse des italiens, et la chaleur du beau temps avait un certain mal à disparaitre de mon noble cœur. Après tout j'étais né la bas, et le mal du pays me fendait le cœur. Aucunes peines vint me ronger l'estomac, lorsque je quittais l'appartement. J'entendais ma mère rire aux éclats, et une voix aussi forte que la mienne raisonner d'entre les murs. Quelle horreur! Jouaient-ils réellement à un jeu peu conforme? Pris de nouveau de nausée, je parcourais les belles ruelles du 4ème arrondissement, de cette et magnifique Capitale. Un paradis venait d'ouvrir à nouveau mes beaux yeux bleus. Un paradis, qui se traduisait par une boulangerie qui vendait avec magie de magnifiques délices, aussi délicieux pour les papilles gustatives, et les regards avisés. En ressortant de la boulangerie, avec une immense gaufre au chocolat, du moins c'est ce que mon œil percevait, un homme de grande taille, et de nature imposante me hua. D'une façon peu commode, j'observais avec intensité l'homme en question. De plus, il venait de m'interrompre dans une partie de gourmandise. J'étais déçu. Désorienté, de voir que la paix en ce monde me fuyait. Oui, je me cherchais une île imaginaire et utopique de tranquillité absolue! Mais apparemment c'était raté! Comme une quille au milieu d'une piste de Bowling! Enfin, je pense que vous voyez ou je voulais en venir. Sans même prendre le temps d'essuyer mes lèvres emplies de chocolat, je lui adressais avec fermeté.

« Oui...? »

Un seul mot avait suffit au type en question à le faire sourire. Il me faisait presque peur, pourtant il dégageait une importance peu commune. En d'autres termes, ce mec devait être sans aucun doute un tyran dans son boulot. Pourtant, il était rester là, à me fixer comme un gay en rûte. Bien évidemment, je n'ai rien contre les gays, mais ce silence pesant commençait fortement à m'ennuyer. A mon humble étonnant, il prononça enfin des mots, qui brisa aussitôt cette insonorité désagréable.

« Bonjour. Permet moi de t'ennuyer quelques petites secondes. Je t'ai vaguement observé dans cette boulangerie, et je dois dire que tu as un certain physique avantageux. Du moins, tu as un physique qui tape à l'œil. Dis moi, que dirais-tu de faire du mannequinat? »

J'étais complètement sidéré. Pourtant je ne le montrais guère. J'étais plutôt concentré sur ma gaufre au chocolat. Elle me permettais d'assouvir ma gourmandise, et d'assimiler ce que m'avait dit ce type inconnu. Du mannequinat? Avais-je fumé un semblant de cannabis? Étais-je certain d'avoir toucher de la nicotine? Il était évidemment inutile de me poser ces perpétuelles questions tous aussi hilarantes et idiotes. Le sourire aux lèvres, il m'annonça de nouveau, de sa voix charnière.

« Je vois que tu as du mal à te décider mon beau. Écoute je te donne ma carte. Si jamais tu te décides à faire un saut dans notre agence, cela serait une bénédiction. »

Je pris sa carte sans même lui jeter le moindre coup d'œil. A cet instant, alors qu'il c'était avancer pour disparaître de cette minuscule ruelle, il se retourna à nouveau vers moi, et avec une certaine ironie méprisante, il jugea bon de me dire.

« Par ailleurs, si jamais tu te lances dans ce job, il serait fortement déconseillé d'engloutir cet aliment riche en glucide. A bientôt! Je l'espère! »

Il m'avait coupé l'appétit. A peine avais-je entamer ma gaufre, qu'elle finit à la poubelle. Et pourtant, sans même me rendre compte, je remuais sans cesse dans mon cerveau incompris les paroles de cet inconnu fou.

ϟOn tous rêve de gloire, d'amour et d'eau fraîche. Mais où cela peut-il nous conduire réellement?ϟ


Me voilà mannequin. Oui, se fut rapide. Du moins, j'ai mis un temps fou à me décider. Croyez moi cela n'a guère été facile. Pourtant, à observer la vie désastreuse de ma mère, aurait pu m'aider sans le moindre doute à mettre un doigt délicat sur mon choix. Hélas non! Je ne saurais vous dire ce qui ma mis cette fameuse puce à l'oreille. Une chose est sûre je ne suis pas déçu. Comment l'être? J'ai très vite appris que dans ce monde, il ne suffit pas d'être beau et souriant. Oh! Je vous assure, être loyale, et répondre positivement aux convenances d'autrui n'est que bêtise! Ce monde est peuplé d'être ingrats, et cruellement vils. Il faut constamment se battre, et ne jamais risquer de se retourner. Telle est la vie du mannequinat. Pourtant, à l'heure actuelle, je suis encore là. Réfléchir est une certaine forme de vertu pour moi. Mais réfléchir à quoi au juste? Très bonne question. J'aimais naturellement que ma propre personne sois satisfaite. Bien évidemment, voir ces gens s'affairer tous autour de moi, n'était qu'un plaisir de plus apporté à mon éternel état d'âme narquois et arrogant. Par ailleurs, une personne à su éveiller en moi une certaine curiosité presque perverse. "Lui." Le beau Malo. Il est si calme, et si distant, que cela me faisait autant saliver qu'une énorme charlotte aux fraises. Pervers moi? Peut-être. J'aurais voulu comploter des plans machiavéliques afin de l'attirer dans mon lit. Seulement voilà, je pu me résoudre. Cette révélation me fit l'effet d'une bombe. Oh oui! Vous pouvez rire, encore aujourd'hui je suis complètement paumé. Perdu à jamais dans ce regard triste et songeur qu'il m'avait adresser la première fois. Cette douce et éternelle voix qui hante encore mes nuits, et son corps si chaud, que je m'étais permis d'enlacer sans la moindre permission. Dépravé ou non, je suis assez vicieux pour avouer sans honte que je rêve de lui. Le beau Malo hante mes nuits. Et pourquoi? Je me le demande! Je me pose sans cesse cette question existentielle: "Pourquoi!" Aucunes réponses, ne vient, et je suis encore égaré dans mes sombres pensées comme un loup affamé en quête perpétuelle de sa proie. Une chose est certaine, et avec un fondement certain. Il n'est pas du tout comme sa sœur. Il ne lui ressemble en rien. Et ne ressemble nullement à personne. Mais alors d'où vient-il? D'où vient cet être si spécial à mes yeux? Encore une fois, mon statut de mannequin arrogant, et si imbu de lui même, ne me viendrait pas en aide. Désorienté à jamais de ces pensées idiotes, j'erre sans égal dans un monde pourris, ou la liberté de pensée est mise à l'épreuve.

hum... hum... un dernier mot ?

PSEUDO ϟ Malabar
AGE ϟ 20 Ans
AVATAR ϟ Le Sublime Mathias Lauridsen
TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟ Il est tout bonnement génial! Et ces scénarios! *o* Je peux mourir? XD
AUTRE ϟ Attention à vos fesses...*Fuis très loin.*