crédits ϟ aeroplane

sinclair-maclagan, miah

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Bonjour, je me nomme MIAH SINCLAIR-MACLAGAN j'ai VINGT-QUATRE ANS,
je suis né(e) le 29 SEPTEMBRE 1986 et je viens de MELBOURNE, AUTRALIE.

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☞ QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT? 1 ϟ un petit footing... j'ai besoin d'air ! ☞ QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ? 3 ϟ mes doigts connaissent le moindre de mes repas. ☞ QUE PENSEZ-VOUS DU MANNEQUINAT ? 3 ϟ moi du moment que j'ai du fric, vous savez... ☞ QUE FAITES-VOUS DE VOTRE TEMPS LIBRE ? 3 ϟ l'intégral de star wars, vous connaissez ? ☞ JUSQU'OÙ IRIEZ-VOUS POUR DÉCROCHER UN CONTRAT ? 2 ϟ moi, je paye en nature... intéressé ?

NOM ϟ Sinclair-Maclagan. PRÉNOM(S) ϟ Miah. AGE ϟ Vingt-quatre ans. LIEU DE NAIS. ϟ Melbourne, Australie. DATE DE NAIS. ϟ 29 septembre 1986. TAILLE ϟ 1m65. TOUR POITRINE ϟ 91 cm. TOUR TAILLE ϟ 63cm. TOUR HANCHES ϟ 86cm. POINTURE ϟ 39.

mais... qui es-tu ?

Il a toujours été difficile de cerner le tempérament de Miah, puisque la belle à toujours eu tendance à être du genre caméléon, à s’adapter à toutes les personnes et à tous les gens. Car la belle Australienne n’est certes pas à prendre avec des pincettes, mais son caractère pourrait être difficile à supporter pour les communs des mortels. Tout d’abord, il faut savoir qu’elle est très, très indépendante : elle aime s’occuper de ses choses et déteste qu’on fouille dans les siennes. D’où le fait qu’on en sait très peu sur sa vie en dehors des podiums.
Elle est aussi du genre organisée, planificatrice, presque maniaque à un certain point : par exemple, chaque matin, c’est toujours la même routine (lever, footing, douche, repas) et elle ne changera pour rien au monde ses habitudes, pas même pour un homme… ou une femme. Miah est bisexuelle et s’affirme comme telle – l’une de seules indiscrétions que nous connaissons à son sujet.
Si elle aime bien prendre soin de son corps, en s’entraînant tous les matins notamment, mais aussi en s’assurant que tout ce qu’elle ingère est sain pour son corps, elle cache un petit côté garçon manqué que peu connaissent. En fait, elle a côté geek très prédominant (elle ne peut vivre sans son iPhone), et elle préfère bien souvent les soirées passées avec ces copains à regarder un match de hockey qu’une journée magasinage avec ces amies superficielles – ionique pour un mannequin, non? Mais par contre, les sorties en boîte, c’est son truc… tant et aussi longtemps qu’elle n’a pas mieux à faire avec ces potes.
On la dit aussi très à l’aise au sujet de sa sexualité – elle a même déjà avoué avoir couché avec un photographe en début de carrière pour parfaire son portfolio – et c’est d’ailleurs l’un de ses sujets de conversation favoris quand elle a légèrement abusé de l’eau-de-vie.

hum... hum... un dernier mot ?

PSEUDO ϟ Mistaken.
AGE ϟ Vingt-trois ans.
AVATAR ϟ Naya Rivera.
TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟ J'aime, j'aimeeee .
AUTRE ϟ

oh je vois ! et alors, c'est quoi ton histoire ?

À vingt- ans, on est invincible. À vingt-ans, rien n’est impossible.
C’est à cet âge que j’ai pris un billet d’avion, aller simple, pour la ville-lumière. Mes parents désapprouvaient, mais ils ne purent m’empêcher de prendre la poudre d’escampettes et de fuir cette Australie qui m’était devenu fort insignifiante, maintenant que j’avais devant moi le rêve d’une vie : Paris. Je ne partais pas les mains vides et sans ressources : j’avais plusieurs contacts là-bas, certains amis plus âgés qui avait acceptés de m’héberger le temps que je trouve de quoi subvenir à mes besoins. Et puis, je ne partais pas seul : Gregorio m’accompagnait. Mon faire-valoir petit-ami de l’époque, un styliste fort doué, je devais l’avouer, mais oh combien insignifiant pour ma petite personne. Il n'était en fait qu'un prétexte, mon excuse pour partir d'ici : j'étais son seul et unique modèle, et il n'aurait pas accepté de tenter l'aventure sans moi à ses côtés. Comment refuser une telle opportunité?

J’ai été idiote de croire que cela se passerait ainsi.

Sitôt arrivée en France, à peine quelques semaines plus tard, il me plaquait pour une blonde plantureuse qui travaille pour une agence quelconque, mais qui avait, elle (au moins) fait son nom dans le rude monde de la mode. J’étais outrée. Ce salaud m’avait plaqué alors que d’ordinaire, c’était moi qui jetais les gens ! Mais encore plus, on m’enlevait ma seule chance de me tailler ma propre place dans le milieu. À croire qu’il doit s’en mordre les doigts aujourd’hui, sachant que cette platine demoiselle à fait quelques overdoses avant de se voir virer de son agence, perdant ainsi toute sa crédibilité, et emmenant bien au fond mon cher Georgio.

Bref, après cet épisode, loin de m’avouer vaincu, j’ai tout fait pour trouver ma place dans le métier. Mais je manquais de matériels – trop peu de photos, trop peu d’expérience. J’avais une belle gueule – et je le savais, mais apparemment, ça ne suffisait pas. Et pour faire prendre des centaines de clichés, tous plus unique que les autres, il me fallait de l’argent. Beaucoup d’argent. C’est donc ainsi que je me suis retrouvée à travailler comme serveuse dans un restaurant érotique – j’avais le physique de l’emploi, d'après mon patron. Et étonnamment, c’est grâce à ce petit boulot – minable, ceci-dit – que j’ai trouvé mon premier contrat de photographie : en l’espace de quelques mois, je suis devenue la figure de l’établissement pour lequel je travaillais. Et avouons-le, les autres filles me détestaient… et je dois avouer que j’aimais ça. Autant avoir une mauvaise réputation que n’en avoir aucune. J’ai aussi connu un photographe très séduisant durant cette époque particulière de ma vie, avec qui j’avoue avoir eu des rapports sexuels – torrides, je vous avoue – en échange de séance de photographies. Cet arrangement nous convenait à tous les deux. J’étais devenu sa muse, et il était devenu pour moi… rien d’autre qu’un homme que j’utilisais et manipulait à ma guise. De fil en aiguille, je me suis battit un portfolio fort intéressant, tout en continuant à harceler ces agences qui ne me croyait pas digne de figurer dans leur rang. Néanmoins, j'avais trouvé mon gaga après tout ces shooting-photo : la lingerie fine. Le côté latin de ma personne, et mon teint basané avait le don de mettre en valeur tout ce que je portais, mais spécialement les sous-vêtements. J'avoue avoir aussi fait quelques photographies érotiques pour des magazines spécialisés, mais rien de pornographiques : j'ai quand même ma fierté et ma dignité.

Aujourd'hui, voilà maintenant deux ans que je défile sur les podiums pour mon agence, qui a d'ailleurs mit beaucoup trop de temps, à mon avis, avant de me rappeler, mais passons... On m'a enfin remarqué après deux ans d'entêtement et d'acharnement de ma part. Sans être encore en tête des défilés, je trouve néanmoins le moyen de me démarquer des autres par certaines de mes remarques crus en entrevues, et par mon charme naturel, cela va de soi. Et puis, mon physique parle de lui-même : on ne peut me résister. J’ai un corps de rêve que j’entretiens comme mon bien le plus précieux, et au diable les dépenses à ce sujet – tout est bon pour physique de déesse. Mais ne soyez pas dupe : les chirurgies esthétique, très peu pour moi. Je suis une naturelle, 100% pure – enfin, pas nécessairement dans le sens que vous l’entendez, je suis loin d’être chaste et ne m’en cache pas. Mais là n’est pas la question.

Mon corps étant mon outil de travail – et le seul moyen de me faire une petite fortune, disons que j’aime le mettre en valeur et démontrer à tous et chacun à quel point je suis fière de ce que je suis. Et au diable les jalousies, je m’en fiche. Pour être belle, il faut faire des sacrifices. Alors n’attendez pas ma pitié pour vos quelques grammes en trop. C’est cogner à la mauvaise porte.