PARIS CONFIDENTIAL. ★ terminée.

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crédits ϟ tumblr

malo sebbac

Bonjour, je me nomme MALO SEBBAC j'ai VINGT-QUATRE ANS, je suis né(e) le 14 JANVIER 1986 et je viens de DEAUVILLE.

QUEL EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE VOUS FAITES EN VOUS LEVANT ?
4 ϟ mon lit est trop confortaaaable !

QUEL EST VOTRE RAPPORT AVEC LA NOURRITURE ?
1 ϟ je suis végétarien...

QUE PENSEZ-VOUS DES MANNEQUINS ?
3 ϟ ouais... euh... pourquoi ?

QUE FAIS-TU DE TON TEMPS LIBRE ?
2 ϟ ma vie privée ne vous regarde pas !

TU ES DANS LE TRAIN POUR AU MOINS TROIS BONNES HEURES, QU'ÉCOUTES-TU ?
2 ϟ u2

NOM ϟ Sebbac.
PRÉNOM(S) ϟ Malo.
AGE ϟ Vingt-quatre ans.
LIEU DE NAIS. ϟ Deauville, Normandie, France.
MÉTIER ϟ Photographe.

mais... qui es-tu ?
Malo est un être insatisfait et instable. A eux seuls, ces deux mots pourraient le décrire. Né dans une famille de la haute bourgeoisie, de celle qui tourne en rond dans d'immenses maisons en se demandant ce qu'on peut désirer de plus alors qu'on a tout pour être heureux, son éducation soignée, le fait d'avoir tout ce qu'il voulait et ses multiples voyages aux quatre coins du monde n'ont fait qu'accentuer dès le départ ce caractère exigeant, vaniteux et inquiet. Exigeant, il l'est dans son travail. Il ne tolère que la perfection, la ponctualité et le vrai. Etrange pour un photographe de mode que d'exiger le vrai. A vrai dire, son rêve aurait été plutôt de photographier la guerre et la mort pour satisfaire un côté voyeur mais la lâcheté l'en a empêché. Alors il s'est tourné vers ce qu'il connaissait le mieux : la mode. Sa mère était mannequin, son père directeur d'une agence artistique. Pistonné, le Sebbac ? Peut-être. Sûrement. Il n'en a rien à foutre. Vaniteux et arrogant, il l'est, c'est de famille et bien qu'il s'en rende compte, il ne fait rien pour changer. Il déteste sa famille, à qui il ressemble pourtant énormément. Sa soeur Julia est la seule qu'il aime, bien qu'elle soit la pire des Sebbac.

Malo a toujours été quelqu'un d'agité par des questionnements existentiels et des pulsions de mort difficiles à réfréner. Il a tenté un moment de se perdre dans la drogue. C'était il y a trois ans, il venait de connaître ses premiers succès en tant que photographe. Il avait été choisi par Elle comme l'un des cinq photographes les plus prometteurs de la décennie. Toutes ses photos, il les réalisait sous acide ou sous crack. Mais aucune drogue n'est parvenue à lui faire quitter le monde. Le je-m'en-foutisme des drogués n'est pas pour lui. Il est trop sensible, trop nerveux. Pourtant, il se laisse porter par les aléas de la vie. Deauville-Paris, Paris-Deauville, Paris-New York, New York-Singapour, Singapour-Paris. Il est dégoûté de la futilité de sa vie, mais ne trouve aucun moyen d'en sortir. Il tourne en rond en se demandant ce qu'il faut faire. La dépression qui a suivi ses années d'excès a réduit à néant à sa capacité à désirer qui ou quoi que ce soit. Il n'a pas entretenu de relation amoureuse et/ou sexuelle depuis trois ans. Dans son milieu, il est considéré comme un vrai moine. Ca ne lui pèse pas. Le sexe ne lui manque pas, c'est l'amour dont il n'arrive plus à supporter l'absence.

oh je vois ! et alors, c'est quoi ton histoire ?
Voici la partie qui te prendra certainement le plus de temps. Comme tu le sais, l'histoire est un point important qu'il ne faut absolument pas négliger, c'est pourquoi un minimum de trente lignes est exigé. Tu pourras dans cette partie écrire plusieurs anecdotes ou bien tout simplement décrire ce que ton personnage a vécu tout au long de sa courte existence, ce qui l'a poussé à se lancer dans le monde de la mode et tout le reste...

hum... hum... un dernier mot ?

PSEUDO ϟ sans pseudo fixe, laura.
AGE ϟ dix-huit ans.
AVATAR ϟ et bien j'aurais voulu poster dans la partie invités pour me décider avant, mais je crois qu'elle n'est pas accessible. >< donc j'hésite entre la belle zhang ziyi et andrew garfield. très différents, je sais, c'est pour ça que je demande de l'aide.
TA PREMIÈRE IMPRESSION EN VOYANT LE FORUM ϟ waw. vraiment. c'est très beau, j'aime le concept sur la mode et le mannequinat et le design est superbe. j'ajoute que les admins ont l'air très sympa et ouverts ce qui n'est pas le cas de tous. bravo à vous pour cette belle création.
AUTRE ϟ et dimitri collectionne les petites licornes !

Invité

less than zero.

Le ressac des vagues le berçait. Allongé sur un transat, les pieds enfoncés dans le sable humide, il rêvait. Il rêvait de son enfance. Il se revoyait dans l’élégante demeure deauvillaise en bord de mer. Il pouvait presque sentir l’odeur délicate de cigarette mentholée qui flottait constamment dans la maison. Sa mère en avait toujours à la bouche ou entre ses doigts alourdis de bagues de créateurs. Sa mère … Où était-elle ? A New-York, dans l’appartement de la Cinquième Avenue, peut-être. Il l’imaginait se pencher par la fenêtre, ses mains agrippées à la rambarde, se demandant s’il fallait sauter pour en finir de cette vie absurde. Il imaginait son corps décharné, son chignon parfait, sa cigarette, toujours sa cigarette au coin de ses lèvres boudeuses. Non, elle ne sauterait pas. Elle ne sauterait pas parce qu’elle manquait de courage. La lâcheté était l’apanage des Sebbac. Tous lâches autant qu’inutiles et dépourvus d’émotions. Lui y compris. Il évoluait au milieu de tous ces gens aussi vides et absurdes. Et bien qu’il en ait conscience, il ne faisait rien, il restait là, apathique, ne vibrant pour plus rien. La drogue ne lui faisait plus d’effet, et c’était à peine s’il se souvenait de la véritable gaîté que le champagne pouvait procurer lorsqu’il est bu un peu trop vite. Même le fait d’appuyer sur le bouton, de capturer les images, de graviter autour de ces filles superbes l’ennuyait à mourir. Le problème, c'est qu'il ne savait pas faire autre chose. Il ne savait pas faire autre chose que d'être lui, putain de merde. Lorsqu'il rouvrit les yeux, le soleil était tombé dans la mer. La plage était déserte. Il jeta un coup d'oeil à sa montre – une belle montre pour femme de chez Rolex, une sorte de fantaisie à cinq mille euros qu'il s'était offert sur un coup de tête – et vit qu'il était près de vingt heures. Vaguement, il se souvint avoir réservé une table au restaurant du casino à dix-neuf heures trente. Tant pis. Il était de toutes façons temps de rentrer à Paris.

famille, je vous hais !

Assis en bout de table, Malo observait sa famille. Depuis le début du repas il n'avait pas décroché un mot tandis qu'ils s'échangeaient les derniers ragots avec la férocité qui leur était propre. Sa soeur Julia semblait aussi épanouie qu'un requin au milieu d'un banc de poissons. Elle était la pire d'entre eux, la plus cruelle, la plus acharnée, la plus sanguinaire même. Il y avait dû avoir un problème à la naissance, ils ne pouvaient pas être jumeaux, elle et lui. Il observait son visage, son beau visage, modelé pour le triomphe et le pouvoir. Julia ne tolérait que le succès. Il lui était bien pratique que son frère soit un photographe réputé. Dans la famille timbrés, je veux la putain décérébrée, songea silencieusement Malo en s'allumant une cigarette. Et il n'était pas mieux. Je suis un photographe dépressif sans inspiration, à la vie sexuelle et affective inexistant depuis des mois. Il avait brusquement envie de chanter à tue-tête, de crier des insanités, de renverser la table ou de se jeter par la fenêtre, juste pour voir comment ils réagiraient. Probablement qu’ils lui lanceraient un regard à peine surpris, simplement ennuyé par le bruit occasionné. Quelle bande de cons. Quelle bande de gros cons, même. Il les détestait, il les détestait tous jusqu’au dernier. Sauf Julia, cette putain magnifique. Il ne pouvait pas se résoudre à la haïr, même si elle était la pire. Et même si en l’observant, en regardant attentivement ses traits si différents du sien, son sourire narquois, ses yeux cruels, en entendant toutes les horreurs qu’elle proférait, il ne pouvait pas ne pas l’aimer. C’était étrange, cette fascination qu’elle avait toujours exercé sur lui. Et elle avait beau lui lancer ce regard méprisant qu’elle réservait à ceux qu’elle écrasait sans pitié du bout de son escarpin, il savait qu’il était le seul être qu’elle aimait un peu, aussi. Le coeur des jumeaux Sebbac n'était pas totalement sec, même pressé jusqu'à ce qu'il saigne.

le grand nulle part.

« Je connais Julia. Tu es son frère, je crois ? Elle m'a parlé de toi. » Malo avait légèrement relevé la tête pour croiser le regard de l'éphèbe qui virevoltait avec grâce au milieu des assistants. Il est beau, voilà tout ce qu'avait songé le photographe en le voyant. Il n'était attiré par aucun des deux sexes – du moins, il ne ressentait plus aucun envie de coucher avec qui que ce soit depuis des mois, voire des années – mais ce garçon avait une beauté sensuelle, sexuelle même, qui lui plaisait. Malo aimait les gens qui dégageaient cette animalité primaire. C'était tout ce qu'il ne possédait plus : la spontanéité, l'envie, le désir, la folie. « Je vois qu'elle n'a pas menti, tu as l'air d'un parfait crétin. Ca te dit d'aller boire un verre ? » Malo avait écarquillé légèrement les yeux, mais ce qui l'avait le plus surpris, c'était d'avoir entendu un « oui » sortir de sa propre bouche.

Ils avaient effectivement pris un verre. Il s'appelait Gabriel. Malo n'aimait pas les comparaisons niaises et faciles, mais il ne trouvait pas d'autre qualificatif qu'angélique pour son corps, qu'il imaginait souple et brûlant, marqué d'un ou deux tatouages peut-être, possédé par de nombreux et invisibles amants. Si c'était ça qu'il recherchait en lui, un amant, Gabriel avait frappé à la mauvaise porte. « Tu ne parles pas beaucoup. Pas comme Julia. » « Où est-ce que tu as connu ma soeur ? » La conversation continuait, alors qu'ils avaient fini par se promener le long des quais de Seine, dans le quartier de St-Michel. « Sur un shoot. Elle est bizarre. Je l'aime bien. Vous êtes très différents, en tout cas. Elle m'a dit que vous étiez jumeaux. C'est vrai ? Pourquoi tu es photographe et pas mannequin ? » Il posait des tas de questions, comme un enfant qui se fiche des réponses, et Malo ne disait rien, se contentant d'écouter avec délice son babillage incessant. Il y avait longtemps, très longtemps qu'il n'avait pas ressenti une telle normalité en lui.

Ils avaient parlé, parlé, parlé. Et ils avaient continué jusqu'à l'appartement de Malo. Il habitait dans le Marais. Un endroit petit, tranquille, son seul refuge. Loin de l'élégance de Deauville, du tapage de New-York ou de l'hypocrisie du cinquième arrondissement. « C'est joli. Joli mais petit. » murmure Gabriel. Malo se contente de le suivre du regard et de fermer la porte. Brusquement, Gabriel se retourne, l'enlace, approche sa tête de la sienne. « Tu me plais. Est-ce que je te plais ? » Déstabilisé, Malo ne répond rien, comme à son habitude. Le corps de chaud de Gabriel contre le sien, si froid, est une torture. « Gabriel ... Je ne suis pas de ce genre-là. » « Pas besoin d'être homo ! » « Ce n'est pas ça. Je ne couche pas. Avec personne. » Etonné, l'autre se détache légèrement. Il a vraiment l'air innocent, mais ses lèvres trop sensuelles, son corps trop marqué et ses hanches étroites trahissent que ses nuits ne doivent pas être chastes. « Comment ça ? » « En ce moment, je n'y arrive pas. Depuis trois ans en fait. J'ai pas envie, c'est tout. » Gabriel se détache totalement de lui. Son regard légèrement étonné est un supplice, Malo ne sait plus où se mettre. Mais à sa surprise la plus totale, Gabriel revient. Il se love contre lui, comme un chat. « Alors on dort ensemble, au moins. Tu sens trop bon. » Okay, faisons ça. Au moins.

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JAMIE, je l'adore aussi. PARIS CONFIDENTIAL. ★ terminée. 173504

Il est le chou parmi les chous.

Et je te remercie de ton aide. (:
MEHDI, mais je n'ai rien contre lui, au contraire, j'aime beaucoup sa philosophie haha, avec ce que j'imagine pour le personnage, il ne risquerait pas de te faire la concurrence, crois-moi xD tu resterais le tombeur de ces dames ... PARIS CONFIDENTIAL. ★ terminée. 777750

SIERRA, t'inquiète, zhang ziyi n'est pas vraiment connue

mais si, mais si, ça m'aide. et ne vous battez pas, s'il vous plaît.

je prends donc andrew garfield, merci à vous trois. I love you